. Oeuvres posthumes de Jean-Jacques Rousseau, ou Recueil de pieces manuscrites, pour servir de Supplément aux editions publiées pendant sa vie . es étrangères, &, félonmoi , le plus grand agrément de la Bota-nique eft de pouvoir étudier & connoîtrela nature autour de foi plutôt quauxIndes. Jai été pourtant aflez heureux pourpouvoir inférer dans le petit recueil quejai eu lhonneur de vous envoyer , quel-ques plantes curieufes , & entrautres levrai papier, qui jufquici nétoit pointconnu en France, pas même de M. de Juf-fieu. Il eft vrai que je nai pu vous en-voyer quun brin bien mi


. Oeuvres posthumes de Jean-Jacques Rousseau, ou Recueil de pieces manuscrites, pour servir de Supplément aux editions publiées pendant sa vie . es étrangères, &, félonmoi , le plus grand agrément de la Bota-nique eft de pouvoir étudier & connoîtrela nature autour de foi plutôt quauxIndes. Jai été pourtant aflez heureux pourpouvoir inférer dans le petit recueil quejai eu lhonneur de vous envoyer , quel-ques plantes curieufes , & entrautres levrai papier, qui jufquici nétoit pointconnu en France, pas même de M. de Juf-fieu. Il eft vrai que je nai pu vous en-voyer quun brin bien miférable , maiscen eft aftez pour diftinguer ce rare &précieux fouchet. Voilà bien du bavar-«Jage , çiais h Botanique mentraîne y & .^ SUR LA BOTANIQXJT. m j*ai le plaifir den parler avec vous : accor-dez-moi, Monfieur, un peu ne vous. envoie que de vieillesMoufles ; jen ai vainement cherché denouvelles dans la campagne. Il ny en auragueres quau mois de Février, parce quelautomne a été trop fec. Encore faudra-t-il les chercher au loin. On nen trouvegueres autour de Paris que les mêmesrépété a à RÃPONSE A UNE LETTRE ANONYME X)ont le contenu fe trouve en caraclcre italf,>« que dans cette Réponje, J E fuis fenfible aux attentions dontmhonorent cqs Mefîieurs que je ne con-nois point ; mais il faut que je répondeà ma manière ; car je nen ai quun^. Des Gens de loi qui ejlimcnt , &c. M,Roujfeau , ont été furpris & affùgîs de fonopinion dans fa Lettre à M. (îAlembert furle Tribunal des Maréchaux de Fiance. Jai cru dire des vérités utiles. Il efttrifle que de telles vérités furprennent,plus triile quelles affligent, & bien plustriile encore quelles affligent des Gensde loi. Un Citoyen aufji éclairé que M. Rouffeau. Je ne fuis point un citoyen éclairé,mais feulement un citoyen zélé. N^ignore pas quon ne peut juflement dé-voiler aux


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