. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 105i EOUISIiTlNKRS (lisliiu'tos, comparable, parmi les Dicolylédonos, à colle des Nympliéacées et de certaines Kenoncules (p. 28G), est parti- culièremenl neUe dans la Prèle des hourhiers [E. iu)wsinn). Elle comporte plusieurs modilications, spécialement celle. Fi». 1382 et 1383. — I. coupe transversale de la lige souterraine de la Proie des bois (Equisett/m sylvatlcum) ; a. lacunes corticales; b
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 105i EOUISIiTlNKRS (lisliiu'tos, comparable, parmi les Dicolylédonos, à colle des Nympliéacées et de certaines Kenoncules (p. 28G), est parti- culièremenl neUe dans la Prèle des hourhiers [E. iu)wsinn). Elle comporte plusieurs modilications, spécialement celle. Fi». 1382 et 1383. — I. coupe transversale de la lige souterraine de la Proie des bois (Equisett/m sylvatlcum) ; a. lacunes corticales; b. b, arcs de scléren- chyme, externes et internes: c, double endoderme: d, lacune centrale; /'. faisceaux libéroligneux (gr. : 20). — II, un faisceau grossi: b. i, airs de sclérenclivnie; c, c, endodermes; /, lacune du faisceau: /*. fascicules de bois: .7. liber (gr. : 125) (l'iîtzer). (jui résulte de l'union latérale des méristèles en un anneau continu, avec double endoderme (fig". 1382). Modifications de la structure schizostélique. — Dans la Prèle d'hiver [E. hiem(de), par exemple, tandis que le rhizome offre la structure schizostéliciue, les faisceaux de la tige aérienne sont au contraire rapprochés en couronne, et cette dernière est hordée extérieure- ment et intérieurement d'un endoderme et d'un péridesme continus (fig. 1382, c). Le parencliyme inclus dans la couronne libéroligneuse simule alors une moelle, et il semble, au premier abord, cju'on ait affaire à une tige monostélique ; mais la présence de deux emUxhrmes, et aussi la compa- raison de celte structure avec la précédente, typiquement schizosté- lique, ne permettent pas de s'arrêter à cette interprétation. il est vrai que, dans certaines espèces, comme la Prèle des marais {E. palustre), par suite d'arrêt de développement, l'endoderme interne ne se différencie pas, c'est-à-dire manque do cadres subériliés (fig. 1384) : dans ce cas, si l'on ne tient pa
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