. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 12:28 LES ;NKS CCsL à roxvgvno de lair, iiicossamnionl rcMioLiv*;!»' au tra- vers du larnpou d'ouate du matras, qu'est dû rafrail)lisse- nient de la végétation ; dès les premiers jours, les .Micro- co(jues, jusque-là répandus dans tout le bouillon, s'accumulent au fond. En tubes scellés, les cultures restent au contraire virulentes, même dix mois aprJ'S leur introductio


. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. 12:28 LES ;NKS CCsL à roxvgvno de lair, iiicossamnionl rcMioLiv*;!»' au tra- vers du larnpou d'ouate du matras, qu'est dû rafrail)lisse- nient de la végétation ; dès les premiers jours, les .Micro- co(jues, jusque-là répandus dans tout le bouillon, s'accumulent au fond. En tubes scellés, les cultures restent au contraire virulentes, même dix mois aprJ'S leur introduction. On a pu atténuer pareillement le Bacille du cbarbon au moyen de l'oxygène comprimé, par exemple en employant l'oxygène pur, à 2 atmospbères, ou l'air libre à 10 atmos- plières, à la température de 38", optimale pour la végétation ; à cet efiet, les cultures successives sont maintenues pendant plusieurs semaines sous pression. On constate aussi que les dernières générations ne se développent plus que faiblement, et comme leurs propriétés, plus ou moins atténuées, se main- tiennent fixes dans les cultures ultérieures faites à l'air libre, elles constituent par là même des vaccins, de virulence g-ra- duée, selon la durée d'action de l'oxygène. 2" Allhiuatioïi par la (chaleur en présence de l'air. — Cette métliode est aujourd'bui spécialement employée pour la pré- paration du vaccin du charbon (p. 1236), (jui confère aux ani- maux inoculés une solide immunité pour plusieurs années; opère pour cela à la température de 42°,o. Quand la température est plus élevée, l'atténuation se fait plus promptement ; mais elle est alors épliémère, en raison du changement trop brusque qu'elle introduit dans la cul- ture, ce qui empêche les Ba- cilles de s'y adapter complète- ment. Ainsi, à la température de 50°, le sang- charbonneux frais et délibriné, peuplé de Ba- cilles très virulents (fig-. 1668) devient


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