Le masque ; L'enfant de l'amour . ée! Hélas! je nesuis pas plus né pour être général que pourêtre ministre! Je suis né amant et je r--» —rai sans doute amant! Pas même - l(W> Boulanger !... Donne-moi tes ma;; Amis? AmantsVAmis?. LIANT. — Les deux! Je veux etencore plus!... Il lui embrasse le poignet. UANTz — A tout à lheure? Si tu ns besoin de ma préson*^. nhésite pas à mappty1er. (Il mnnfrr Ir htuton.) Ma sonnerie ma fanfare de ou »me rejoindre en bas. (Il s» retourne.) avas voir le sourire »*pano«i de ton fiN Pr^paite-toi. iff sonne fuitir appe


Le masque ; L'enfant de l'amour . ée! Hélas! je nesuis pas plus né pour être général que pourêtre ministre! Je suis né amant et je r--» —rai sans doute amant! Pas même - l(W> Boulanger !... Donne-moi tes ma;; Amis? AmantsVAmis?. LIANT. — Les deux! Je veux etencore plus!... Il lui embrasse le poignet. UANTz — A tout à lheure? Si tu ns besoin de ma préson*^. nhésite pas à mappty1er. (Il mnnfrr Ir htuton.) Ma sonnerie ma fanfare de ou »me rejoindre en bas. (Il s» retourne.) avas voir le sourire »*pano«i de ton fiN Pr^paite-toi. iff sonne fuitir appeler In femme d*ehnmhre.) II y avait Iot * i vai« parlé h c« lv>n \ !... J ni même rajj-. ..• ., ..: i-n. ..?..>une rnivit-n en or émailUV». .,usje destinnict à mon UM-r,U,i< In vii, |%rOÉIer à Ravmond. m8 LEnfant de lAmour SCENE II LIANE, puis AtGUSTINE Au bout de quelques instants, la femme dechambre entre par lautre porte. LiANii. — Oui, oui, faites LIANE. — Oor, oui, faites entker. La femme de chambre ressort. Liane sinstalleà la coiffeuse, se met activement du rouge, dela poudre, savive les ongles, pour que sonfils la trouve dans une occupation naturelle. SCÈNE III MAUETCE, LIANE Bonjour, MArRidD, entrant, ! Comineut va ? LIANE. — Trè« bien. (Il lemhraaffe sur lefront, duron^ quelle se pondre.) Rantz estlà, tu le sais? JIAURICE. — Je Eh bien, vite! dis-moi, Cei^t décidé? Il ne revient passur sa décision ? LIANE. — Non, Maurice. Il e-t sincèreNons nous marions. MAURICE. — Ah! que je suis content, queje content! Tu nas pas idée de la joiequf jéprouve! (Il lui savte ou cou.) Enfin!Voi.à le rêve réalisé, ma chère petite ma-mari! Tu vois bien quon y est nrrivé toutde luênic, rt cVst fni niauvais jours, etcest fni de la triste se!... Tu vas avoir debeaux yeux clairs, reluisants! des yeux bienestiqués, comme autrefois. (7/ lui parle en la


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