. Oiseaux dorés ou à reflets métalliques . sectes. Les derniers ont trois doigtseu devant et un en arrière, ne fréquentent que les bords des rivièreset des ruisseaux, et ne mangent que du poisson et du frai. AVil-lugbhy, Klein, etc. les ont confondus avec les Pics, daprès lebec et la disposition des doigts 5 mais les mandibules sont plusdéliées, plus pointues, et les pennes de la queue autrement con-formées : de plus, leur genre de vie est différent. Brisson, Lathamet dautres Méthodistes modernes en ont fait, avec raison, ungenre particulier, quon peut regarder comme voisin des deuxprécédens.


. Oiseaux dorés ou à reflets métalliques . sectes. Les derniers ont trois doigtseu devant et un en arrière, ne fréquentent que les bords des rivièreset des ruisseaux, et ne mangent que du poisson et du frai. AVil-lugbhy, Klein, etc. les ont confondus avec les Pics, daprès lebec et la disposition des doigts 5 mais les mandibules sont plusdéliées, plus pointues, et les pennes de la queue autrement con-formées : de plus, leur genre de vie est différent. Brisson, Lathamet dautres Méthodistes modernes en ont fait, avec raison, ungenre particulier, quon peut regarder comme voisin des deuxprécédens. Le premier caractérise celui du Jacamar, par un becdroit, très-long, quadrangulaire et pointu: une langue pluscourte que les mandibulesj deux doigts en devant, deux en ar-rière. LOrnithologiste anglais ajoute à ces caractères, les narinesovales et placées près la base du becj la langue pointue, lespieds couverts de plumes j usquaux doigts. Ce dernier caractèrene peut être généralisé^ car plusieurs ont les pieds aramar. HISTOIRE NATURELLEDES JAGAMARS. ^^«.^ «^>«> ■»■ -^ -^^^ » LE JACAMAR. PLANCHE I. Dessus du corps vert doré à reflets cuivreux ; gorge blanche j ventre roux jdix pennes à la queue. Le Jacamar du Brésil. Brisson, Ornith. — Le Jacamar, BufFon, Ois. —Green Jacamar. Latham, Synop. —Alcedo galbula. Linné, Syst. nat. JJes couleurs analogues à celles des Colibris, et la demeurede cet oiseau au sein des bois les plus épais, sont sans doute lesmotifs qui ont décidé les Créoles de Cayenne à lappeler le grandColibri des bois : mais ses mœurs , sa nourriture , son physiquene permettent pas de le confondre avec eux. Le Jacamar ne volepoint en troupe3 il vit seul, et ne se plait que dans la solitudedes forêts les plus sombres de la Guiane, sécarte peu du can-ton quil a adopté, préfère les endroits les plus humides, sansdoute parce que les insectes dont il fait sa seule nourriture, sytrouvent assez abondamment


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