Oeuvres . tu jette ta Reine ! , de tous vos mniheurs je dois porter la peine .Mais jofe encor, Madame, embrailer vos , c n rr/r-ccablint oc tout votre courroux,Que dun crime odieux je ne fus point capable,Que I2 feule pitié ma pu rendre penfois quaux nuiheurt pi^r le Ciel annon-cez ,La diftance des Ueiix vous dcroboit aHez* JOC ! pourquoi de fa mort mapporterla nouvelle? f^lloit vous fauver crainte éternelle. J O C A 5 T bien, de ta pitié, goûte laffreux fuccès ! à Pciémon.\o\\s, allez -, de mes maux difllmulez lexcè fc


Oeuvres . tu jette ta Reine ! , de tous vos mniheurs je dois porter la peine .Mais jofe encor, Madame, embrailer vos , c n rr/r-ccablint oc tout votre courroux,Que dun crime odieux je ne fus point capable,Que I2 feule pitié ma pu rendre penfois quaux nuiheurt pi^r le Ciel annon-cez ,La diftance des Ueiix vous dcroboit aHez* JOC ! pourquoi de fa mort mapporterla nouvelle? f^lloit vous fauver crainte éternelle. J O C A 5 T bien, de ta pitié, goûte laffreux fuccès ! à Pciémon.\o\\s, allez -, de mes maux difllmulez lexcè fcul, de ce fecret vous avez connoilTance ;Quil foit anéanti dans un profond filence. TRAGEDIE. 511 a SCENE VI. JOCASTE,PHOEDIME. J O C A s T E. X Oi, fatale furie, ote-toi de mes lhorreur dun afped odieux,Laifîe-moi fans témoin fubir la violenceDes maux que tu mas faits, & quaigrit ta? pré-feîïGe* PHOEDIME*Je fii tôuf qmte pmm0 Otâonnét dem^n {mts Fin du quatrième ASi,. Yiiii 511 OE D I P EV rQp nS» ^P oEP fO> OLy> fM> WS ^^ typ ^«r- tîx cX?* xt^ t!y cty* xly c^y tt^ ACTE V, SCENE PREMIERE. OEDIPE, JOCASTE. OEDIPE. vjGel! en quel ttat, vous trouvai-je, Ma-dame ? <^uel troubie Polcmon a-til mis cîans votre ? V ous lentretenez feule ; & trompant mon ef-poir, Dans votre appartement vous rentrez, fans mevoir. Lorfcjue je vous y cherche avec mpatience, Soudain avec horreur vous fuyez ma préfence. Votre bouche efl muette; & plein dun fombreeftroi, Vos regards égarez nofent tomber fur moi,JOCASTE. Ah ! Seigneur, laifTez-moi me livrer à mon trou-ble. Je le nirois en vain, votre afped le redouble. Jugez, par cet aveu, du dcfordre où je fuis,OEDIPE. Qu*entens-je ? ma préfence irrite vos ennuis ? Quoi, je ferois lhorreur de vos yeux f moi, Ma-dame ? Oedipe f cet Epoux, lobjet de tant de flâme ï TRAGEDIE. Yi; JOCASTE. Oe Jipe ! mon Epoux ! vous me faites fré donc en liberté ne pourrai-je gémir ?Si pour le


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