Mémoires . urètre, du coït ; de manière que, quoiquils euffent prefque toutes«uen par le j fenfatioiis & tous les mouvemens qui accompagnent moyen dune ., ^ ^ . o i i_ incifion faite naturellement lejaculation, il ne lortoit rien, oc le boutà cette par- ^g ja verge fe trouvoit fec. *^ Je ne feus quel confeil donner au premier qui me con- rarl-Au^elir! ^^^^^) ^lais je ne lui déclarai point mon ignorance, foitiiir ce fujet. pour ne pas perdre fa confiance, foit pour me donner leloifir dexaminer une maladie qui étoit alors toute nou-velle pour moi. Je me contentai de lui ordonner de vivreplus rég


Mémoires . urètre, du coït ; de manière que, quoiquils euffent prefque toutes«uen par le j fenfatioiis & tous les mouvemens qui accompagnent moyen dune ., ^ ^ . o i i_ incifion faite naturellement lejaculation, il ne lortoit rien, oc le boutà cette par- ^g ja verge fe trouvoit fec. *^ Je ne feus quel confeil donner au premier qui me con- rarl-Au^elir! ^^^^^) ^lais je ne lui déclarai point mon ignorance, foitiiir ce fujet. pour ne pas perdre fa confiance, foit pour me donner leloifir dexaminer une maladie qui étoit alors toute nou-velle pour moi. Je me contentai de lui ordonner de vivreplus régulièrement quil ne faifoit. Jallai le vifiter le lende-main matin, fes urines me parurent très-bien condition-nées ; il eut envie duriner, & il en fit la fondion en mapréfence; jobfervai que lurine arrivoit lentement, queles premières goûtes couloient le long du glandji & ^uç T^ssic LVavvA:, Mes Co/ys cacemciix , et lTrctrc ctn-crl-dans trnic sa [cmnwiir . i\> 4^4. /„ ccatruc .•(N>u)M.•,,X;^ lù .,u. .. . e,.^.L„,su.^nt sa naturelle . O O l,ssu ,hs i crys ca,.r,.;... VVXa ^Me, a fuii ^?• ti-^stu*^ SftyfufUiux_4*,*s Cûî^o ca^^crn^u: c9 E M P e C H E E. 43; deux jets durîne, partant de louverture, ddcrivoient une double fpirale à contre-fens lune de lautre, puis une ^^= ^^-fimpic courbe, & quenfuite la force expulfive diminuant, caiise-VarTeles urines décrivoienf une féconde fois les fpirales, & fi- hetrecisse-niflbicnt en coulant le Ions; du bout de la verge, ainfi •^^^^J^^ ^ ^- > II • I^ HETRE. qu elles avoient commence. Ce jour-là je reconnus feulement quil y avoit un rdtré- Examen decilîement dans le canal de lurétrc, ôc je le jugeai être 1» maladie,près du col de la vedie, parce que le malade fentoit queles urines ne trouvoient de réfiftance quen ce lieu. Cetteremarque fuffifoit bien pour rendre raifon de la fortie irré-gulierc de fes urines, m


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