Théâtre de monsieur Le Grand, comédien du roy . ble. BAGUENAUDIER,Oh que nenni, vous navez par Tair fi éveilleque je lai encore à mon âge. Je pafie pour îa ga-lanterie même , & jai toujours eté aimé de cautes;les femmes ^ hors de la mienne» L E B A R O que vous croyez , mon Père, que Coures îeçfemme ne maiment pas auffi > L^autre jour en p^fant dans la rue , jen vis une demie douzaine quidirent en me voyant ^ yoiJàun jeune homjne qjLii à]*air bien dégourdi. B A G UENAUDIER. Tant mieux £ cela eft ainfi. Contez»en à roiï*»les les belles tour à tour , mais népoufez jamais,^X. E B A R
Théâtre de monsieur Le Grand, comédien du roy . ble. BAGUENAUDIER,Oh que nenni, vous navez par Tair fi éveilleque je lai encore à mon âge. Je pafie pour îa ga-lanterie même , & jai toujours eté aimé de cautes;les femmes ^ hors de la mienne» L E B A R O que vous croyez , mon Père, que Coures îeçfemme ne maiment pas auffi > L^autre jour en p^fant dans la rue , jen vis une demie douzaine quidirent en me voyant ^ yoiJàun jeune homjne qjLii à]*air bien dégourdi. B A G UENAUDIER. Tant mieux £ cela eft ainfi. Contez»en à roiï*»les les belles tour à tour , mais népoufez jamais,^X. E B A R ne fuis pas fi niais, & jelpére que vou^ eiisen»drez bien-tdt ^âiiet de mes fredaines»- î- ^ D E* B A R CLU E S. 91 SCENE A GUENAUDIE Rfenl, y^ E q :e ccl\ que de donner de léducation aux^^ enfans ! fi Je navois pris foin de ce garçon-là , ce feroit le plus grand benêc de notre faut tout dire ; il a dcja marché à lArriere-bàn-i& cela forme bien un jeune homme. Mais voicirEvc;i! U i il. ) fp. L E s N O U V E A U X S G E NE I V. ;B A G U E N A U D I E R,LE V E I L L E\ B A G U E N A u D I E R. HE bien , quas-tu fait ? Doriméne a-t-elle re^çu ma Lettre ? L E Y E I L L foi, Monfieur, vous êtes plus heureux quefage > & je naurois jamais crû Doriméne capabledécouter un autre que fon mari, BAGUENAUDIER,Comment î tu mapportes donc de bonnes l ^ -^ L E V E I L L E- Si -jen crois les tranfpcrts quelle a fait éclater ^en lifant votre Lettre, la réponfe doit vous êtrebien agréable, BAGÛENAU D I E promptemenc* {lîiit, y Mon cher ^,., Ah ! lEveille , ce iéul mot me ysJufqu au fond de lame. L^ E V E ï L L rContinuez» D E B A R Q^U E S. 9^ BAGUENAUDIER cher, comme votfs nteerk^fX. f»ns façon , jeVMS fais une réponfe ic nirrne : vohs m*c0rex. vctre caurf^ztre hîtfj , fr ne rtfnfe ni l*nn 7>i P antre ; je ne fuispas trîérejjée , mati f»i hefwj de Hen des chfs. Ah î ceft m
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