. Les Français peints par eux-mêmes . rer dans Paris, un commis de loi twi lai lèia pour lui demander un verre ofe coco. Où diable un commisde loctroi va-t-il prendre lidée davoir soif, et surtoutde se désaltérer avec une pareille boisson. Le marchandsempresse de remplir un gobelet, et le présente au com-mis avec toute la grâce imaginable. Celui-ci na pas plu-tôt goûté le liquide, quil pousse un cri dadmiration, etappelle quatre ou cinq de ses collègues quil invite àsuivre son exemple. Les gohelets sont remplis cl vidésen un instant, et chacun sextasie. Enchanté de cetteconsommation inattendue
. Les Français peints par eux-mêmes . rer dans Paris, un commis de loi twi lai lèia pour lui demander un verre ofe coco. Où diable un commisde loctroi va-t-il prendre lidée davoir soif, et surtoutde se désaltérer avec une pareille boisson. Le marchandsempresse de remplir un gobelet, et le présente au com-mis avec toute la grâce imaginable. Celui-ci na pas plu-tôt goûté le liquide, quil pousse un cri dadmiration, etappelle quatre ou cinq de ses collègues quil invite àsuivre son exemple. Les gohelets sont remplis cl vidésen un instant, et chacun sextasie. Enchanté de cetteconsommation inattendue, le marchand tend la mainpour faire sa recette; mais, au lieu de payer, les commislinvitent civilement à entrer au bureau. Là on le dé-charge de sa fontaine, et le pauvre homme ne tarde pasà sexpliquer les éloges Hatleurs prodigués à sa rafraî-chissante liqueur : la cloison intérieure sétait dessou-dée, et leau-de-vie, se mêlant avec le coco, avait mira-culeusement transformé celui-ci en un grog Marcliand de coco sous Louis XV.
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