Arquivos . eiit en tou-tes proportions. Sa densitó égale 0,9203 U l3o,II ne soxyde pas à Tair et nest pas déeoni-posé par 1eau. Léthyl-(rotonatt éthylíquôt)0UE a 1650 en distilluht sans se dé densité de vapeur égale 4,83, le chilfrethéorique étant 4,90. — Acíion de la potasse en fttsion sur Vacideethyl-crotoniqiie. Lorsquon mele Thydrate po-tassique avec un Kia<d exees dhydrate po-tassiqtie et quon chaulfe lo nielange à ISO»,il se dé^age de grandes quantités dhydro-gene, et la masse restante, épuisée par leauet distillée avec laeide sulfurique, uonne unacide. Celui-ci, traité par


Arquivos . eiit en tou-tes proportions. Sa densitó égale 0,9203 U l3o,II ne soxyde pas à Tair et nest pas déeoni-posé par 1eau. Léthyl-(rotonatt éthylíquôt)0UE a 1650 en distilluht sans se dé densité de vapeur égale 4,83, le chilfrethéorique étant 4,90. — Acíion de la potasse en fttsion sur Vacideethyl-crotoniqiie. Lorsquon mele Thydrate po-tassique avec un Kia<d exees dhydrate po-tassiqtie et quon chaulfe lo nielange à ISO»,il se dé^age de grandes quantités dhydro-gene, et la masse restante, épuisée par leauet distillée avec laeide sulfurique, uonne unacide. Celui-ci, traité parla móthode de satu-ration partielle de Liébig, se résout coniplé-tenient en deux acides, laeide butyrique etlaeide acétique. Bien que laeide pyrotérèbi-que soit isomére de Tacide éthyl-crotoniqueet nuUement isomère avee lui, il donne. parla potasse, les raêmes produits de déL-oniposi-lion. Les équations suivantes expliqueat leslaits : C2H4, C2HSC2 {-%^, -f 2KH0 Acétale depulnssium. 2IÍH0 Polaase. + CMriíO* Butyratepolassique. ÉTHYLE s. m. (é-ti-le). Chim. Radical mo-noatoraique qui lonctionne dans lalcool etdans les éthers, ainsi que dans les ammonia-ques composées qui en dérivent. — Encycl. Nous traiterons ici de Véthyleet de ses derives. On ne connalt pas l e-ihyle C2H5 à Tétat de liberte. Pendant quel-que temos on a cru que ie corps découvert parFranklaiid, et qui prend naissanoe lorsquonfait agir Tiodure àétliyle sur le zine, présen-tait cette composition. Gerhardt le premiermontra que cet hydrocarbure a une formuledouble de la precedente, cest-à-dire égale àC4H10. Toutefois, poussé par la théoríe destypes et voulant asslniiler véthyle libre à Thy-drogène libre H2, comme il assimilait Thy-drate i\éí/tyle (alcoul) a leau H^O, il décrivitle composé de Frankland comnie de Téthy-luro úélhyle C2HB) C2H5r Les faits donnaient un démenti à riiydrocarbure de Frankland eút été deréthylu


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