. [Paraphrase des pseavmes de David, : en vers françois, . on pouuoir fuprême,Soumettent leur feepore à tes loix, Et de ta feule main tiennent leur diadème. Quils célèbrent de ton pouuoïrEn tout temps cette illuftre marque,Quen mes jours tu leur as fait voir, 3e Berger mayant fait vn glorieux Monarque*Quils apprennent quen leur befoinDe prés les humbles tu regardes,Et vois les fuperbes de loin, ^uî cherchent hors de toy de vaincs fauue-gardes. le ne puis craindre ladueninCar quelque mal qui lenuironne,Tu le feras bien-toft finir,Tu défendras toufiours lhonneur de ma couronne,Ta fureur fur mes


. [Paraphrase des pseavmes de David, : en vers françois, . on pouuoir fuprême,Soumettent leur feepore à tes loix, Et de ta feule main tiennent leur diadème. Quils célèbrent de ton pouuoïrEn tout temps cette illuftre marque,Quen mes jours tu leur as fait voir, 3e Berger mayant fait vn glorieux Monarque*Quils apprennent quen leur befoinDe prés les humbles tu regardes,Et vois les fuperbes de loin, ^uî cherchent hors de toy de vaincs fauue-gardes. le ne puis craindre ladueninCar quelque mal qui lenuironne,Tu le feras bien-toft finir,Tu défendras toufiours lhonneur de ma couronne,Ta fureur fur mes enuieux SVR LE PSIAVME CXXXVIÏ. 4?J Exercera fa violence,Et dans vn repos glorieux,A ux pieds ie foulcray leur barbare infolence, Acheue donc par ta bonté Loeuure dont elle eft lorigine, Efhblis mon authorité,Difïïpe les projets dvne guerre inteftine; Fay quen paix je coule mes jours3 Detîa ta promefïc tengage; A mhonorer de ton fecours,Et ta main me fauuant, fauuera fon ouurage. ************** ifi^^¥¥¥¥¥¥¥¥¥¥ .m. ******* ******. V £7* Paraphrase P-S E A V M £ Domine probafti me & cognouifti me# A K G V M E N T. Ce Vpaume eft vn des plus excellent que mus ayons en toutle Pfautier,joit pour le fujet lequel y eft traittê, fiit pourles façons de parler,, dont Dautd sy ejiferuy. On le peutappellerle Panégyrique delafîience de Dieu, àr qui rienneft caché, & quiconmïft mieux nos pensées, que nousne faisons nous me fines. ilÉli^iiÉÉlïiiiiiÉ O E i g n e v r, mon ame en vain t oppoieroit des voiles ; De ton trofne éleué plus haut que piiiÈ les eftoiles , Tu perces clairement labyf- ïfïïHiiimifilËÉÉlii me de mon fein , le ne puis à tes yeux ca-cher aucune chofe, Tu me vois quand je marche 6c IlÉllIÉIllÉlïfÉlËlÉil quand je me re- pofe, Et tu lis dans mon coeur mon plus fecret defîèin. Ce coeur qui fçairfî mal vfer de fa franchife»Tantoft eftime vn bienj ôc tantoft le méprifè*. SVR LE PSEAYME C X X X VI II, An% Ce


Size: 1711px × 1461px
Photo credit: © Reading Room 2020 / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookauthorgodeauantoine16051672, bookcentury16, booksubjectbible