Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . aille, Les Cloux, Meix-au-Uoi. JAMBLIQUE (jan-blik-) n. m. Pharm. Fruitdune cupliorbiacée, Vamidica officiiialis, astrin-gente. ;ll est ovoide, aplati, et atteint la gros-seur dune cerise.) JambliQUE, romancier grec, né on Syrio(If s de notre orp;. I! était Syrien de race, maisGrec déducation; il semble même avoir pro-fesse la rhétorique grecque. Sous le rètrno deMarc-Aurcle, entre les années 166 et 180, ilavait compose un grand roman, en trente-neuflivrc-s, qui ,i;iit intitulé les Babyloni^nes ou les ,\,. • /;,,,,./ancs e( rf
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . aille, Les Cloux, Meix-au-Uoi. JAMBLIQUE (jan-blik-) n. m. Pharm. Fruitdune cupliorbiacée, Vamidica officiiialis, astrin-gente. ;ll est ovoide, aplati, et atteint la gros-seur dune cerise.) JambliQUE, romancier grec, né on Syrio(If s de notre orp;. I! était Syrien de race, maisGrec déducation; il semble même avoir pro-fesse la rhétorique grecque. Sous le rètrno deMarc-Aurcle, entre les années 166 et 180, ilavait compose un grand roman, en trente-neuflivrc-s, qui ,i;iit intitulé les Babyloni^nes ou les ,\,. • /;,,,,./ancs e( rfc .Sinon/s. L action des ii„; /, ,,? passait presque toujours aux ,. i::iiiy|one. Cétait un tissu davcn- , I ,, , , , r imaires; longtemps persécuté par Garnos, fui rtp Haliv loue, les deux amants finissaient par triompher, et même Rliodanès devenait roi à son tour. V. Babylo- NIIJCES (les). JambLIQUE, philosophe grec do lécole néo-platoni-cienne, né àChalcis, en Cœlésyrie, vers 283 , mortvers 333. Kiôve dAnatolius, qphyre, il. JAMBOLIN {ja ^ , _^__ avait été disciple de Pi 1,1,,1,= ,. <.. éwdié, outre les doctrines do Platon et dupythagorisme, celles des Clialdéens et des Egyptiens. 11enseigna à Alexandrie, où il conquit sur tous ceux quilapprochaient, malgré la difficulté de sa parole, un ex-traordinaire ascendant. Ses très nombreux ouvrages sontpresque tous entièrement perdus. Un des mieux conserveset deis plus curieux, le traité des Mystères éc/yptiens, luia été, peut-être à tort, contesté par la critique. Jambliquerejette les théories de Porphyre et de Plotin, qui consi-déraient la disposition à lextase comme une faculté indis-pensable pour létude de la philosophie. Il pensa, néan-moins, que lhomme, au moyen de rits secrets, peutentrer on rapport avec la divinité. Il fait grand cas desmystères et des initiations, ce qui lui a fait attribuer parplusieurs do ses disciples le don des
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