. La Lecture. aient par taquinerie de pousser à la consommation ;is, le repas fini, ils renvoyaient leurs hôtes en leur mettant unlier dans main. Peu à peu[ supportaIS débitse a u X - d e -e, les cavesbière, lesifés-coiiîrts et lesils publics^rent \isijs. Et notrpjn i f 0 r m 0«éveilla|*es(iue pluscuriosité,s femmeslemaiidesplaisaienticonnaîtregentilles-la dou- ,. , • * 1 1 ;.,• la délicatesse des l-ran,ai^ à leur eganl. Klles étaient ie tout autres façons. Dailleurs, les servantes de courtisées par les Prussiens. L reil en feu.•avançaient avec


. La Lecture. aient par taquinerie de pousser à la consommation ;is, le repas fini, ils renvoyaient leurs hôtes en leur mettant unlier dans main. Peu à peu[ supportaIS débitse a u X - d e -e, les cavesbière, lesifés-coiiîrts et lesils publics^rent \isijs. Et notrpjn i f 0 r m 0«éveilla|*es(iue pluscuriosité,s femmeslemaiidesplaisaienticonnaîtregentilles-la dou- ,. , • * 1 1 ;.,• la délicatesse des l-ran,ai^ à leur eganl. Klles étaient ie tout autres façons. Dailleurs, les servantes de courtisées par les Prussiens. L reil en feu.•avançaient avec des éclats de voix efportaient brutaleu,ent?nain mu- la greflien, quils embrassaient do force, l les,s crus, les ex,,ressions consacrées au vice partaient de leurslohes sensuelles en accents gutturaux et bruyants. Quel.,u., jaloux, ils plaisantaient les femmes de préférer les Franç toujours elles répondaient Ils rajjeaient fi vni -- 19. ^. L. - fiO. A la porU tle lhôlol. je parus htsiter. 274 LA LECTUIŒ ILLUSTRÉE en souriant, et le^ pinraient, les serraient forti-mtiii aux l^ras. Leapauvres \\\\e> se plaignaient à nous du tempérament matériel etl)Utor de rAllemaml. Elles se plaisaient à avouer leur préférenceen un regard langoureux, aceompagné dun frémissement, dunléger cri sécliappant vivement de leurs bouches aux dentsi)lanches, aux lèvres rougeoyantes, voluptueusement entrouvertespar le sourire. Dans un quartier du centre, nous avions trouvé une petite bras]série tranquille où nous nous réunissions chaque jour. Un de no?camarades, le brigadier Paul Marchai, des guides de la Garde, urgrand blondauxyeux bleus, joli garçon dune vingtaine dannéessétait épris dune jeune servante de son âge nommée GrimhildeSa passionnettefut réellement partagée ; le patron lui même lavaltolérée devant la sincérité de cette affection. La petite gretchen plaisait par sa gentillesse, son boncœuretsemanièr


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