. Le bouquet du roi, ou Le marché aux fleurs, a-propos en un acte, mêlé de vaudevilles . nde ôte son bonnet par respect^vive Louis! T O U S. Vive Lcuis ! L E G A R D E n U C O K P s. Nous avons bu à la santé du Roi, maintenant à tous le«bons Français. , LE GRENADIER. Et j qu nous en sommes. L A B G N I) h. Messieurs, je vous remercie pour ma part. LE GARDE DU COU P : Voilà la manièérir sa patrie,DéfeDclj e ses rois ,Bien aimer sa soumettre aux son pays,• Lui consacrer sa vie entière. Fidèle à Louis ,L*aimer comme un fils aime un pè ])our piière<x &
. Le bouquet du roi, ou Le marché aux fleurs, a-propos en un acte, mêlé de vaudevilles . nde ôte son bonnet par respect^vive Louis! T O U S. Vive Lcuis ! L E G A R D E n U C O K P s. Nous avons bu à la santé du Roi, maintenant à tous le«bons Français. , LE GRENADIER. Et j qu nous en sommes. L A B G N I) h. Messieurs, je vous remercie pour ma part. LE GARDE DU COU P : Voilà la manièérir sa patrie,DéfeDclj e ses rois ,Bien aimer sa soumettre aux son pays,• Lui consacrer sa vie entière. Fidèle à Louis ,L*aimer comme un fils aime un pè ])our piière<x <Juil vive à jamais!Cest bien la manieraDêtre Lou Français. LE GRE NA DIE II. Quand !e canon tonne, liiie en lécoulant, Aux citampsde Bellonne Coutir en chanfant, le/idi e efTortj^ux vaincus «a main lulélaire, Tralii par le sort,G aider sa gfnive toute entière , Sajîvc! aa bannière, Oî! mourir aupiès , Cest bien la manièie Délie bon Françaîs. LECHASSIETTR, IVtme immrnse clidînôFormer les anneaui:,Peiafinusfc haine •Piévemr les maux, (3o). b Savoir sans pitiéLa repousser daus sa tannière, Par le cœur Hé,Dans tout Français ne voir quun frère. Dans la Piance entière Maintenir la paix , Voilà la manière Dêtre bon Français. L A BOND E. Lorsque vient la fête De notre bon roi, Chanter à lue-tête , Navoir rien à soi ; Livrer ses fournauxA tous les amis dla bonn chère , Ouvrir ses caveauxA tous les ennemis d Peau claire , Ce quon fit, le r faire Encor lan daprès , Voilà la manière Dêtre bon Français. SCENE XVU. Les Précédens, GERVAIS. G E R V A I ! my voilà enfin. 1, AB ONDE. Comment tout seul, monsieur Gervais ! GERVAIS, Ah ! ne men parlez pas, nous nous sommes perdus auxTuileries. L A B O N D E. Dans la foule, pas vrai ? je le crois bien, 1* jardin n dé-semplit pas d*puis un mois, jugez donc aujourdhui, GERVAIS. Ah ! voisin, je vous désirais là. L A B o N D E. Jy serai tantôt. GERVAIS. Non, cest que vous
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