. Histoire naturelle des oiseaux . franc*, les pennes des ailes brunesbordées d*olivâtre, excepté les plus voi-fînes du dos qui font rouffes*, les pennesde la queue brunes auffî, bordées lesdeux extérieures de blanc, les fuivantesde gris-olivâtre, & les deux du milieude gris-roufsâtre, enfin le bec cendré &les pieds bruns. La femelle a moins de jaune & napoint la gorge brune, ni la tache de lamême couleur fur la poitrine. Au refte,AIdrovande avertit que les couleurs duplumage font fort variables dans cette du Bruant. 6 y tfpècc : rindîvrdii quil a fait repréfentef^avoit fur la po
. Histoire naturelle des oiseaux . franc*, les pennes des ailes brunesbordées d*olivâtre, excepté les plus voi-fînes du dos qui font rouffes*, les pennesde la queue brunes auffî, bordées lesdeux extérieures de blanc, les fuivantesde gris-olivâtre, & les deux du milieude gris-roufsâtre, enfin le bec cendré &les pieds bruns. La femelle a moins de jaune & napoint la gorge brune, ni la tache de lamême couleur fur la poitrine. Au refte,AIdrovande avertit que les couleurs duplumage font fort variables dans cette du Bruant. 6 y tfpècc : rindîvrdii quil a fait repréfentef^avoit fur la poitrine une teinte de vert-obfcur-, &, parmi ceux que jai obfervés,il sen eft trouvé un qui avoit la partiefupérieure à xx cou olivâtre, prefque fansaucun mélange. Longueur totale, fix pouces un quartsbec, environ fix lignes-, vol, neuf pou-ces deux tiers-, queue, près de trois pou-ces, compofie de douze pennes, dé-paile les ailes denviron dix-huit lignes,elle eft fourchue à peu-près comme dansies 68 Hifîoire Naturelle LE BRUANT FOU (a). -Les Italiens G»t aînd appelé cetoifeau , parce quil donne indifFérem-ment dans tous les pièges, & que cette * Kojq les pîancfees enluminées,//.^ ^o^fig, des prés de France. faj Emkri^apratenjis; en Aîîemand, w^//7Z/w/wer/:^,wife emmeriti; aux environs du Lac-majeur, , De Apihm, page. 655. Emberiza pratenfisGefveri; Ai>is merulai congener; hordeolaj à caufe dugrain dorge ou tubercule que cet oifeau a dansle paiais (& peut-être parce quil fe nourrit d^orgecomme les autres bruants, iefqueis par cette rai-fon sappelîentgee/-^ory?e^. Charîeton, Aies, p. 87. Emberiia pratenjîs GefnerL Bouonieufibns Berta-Jina. Aîdrovande, page 572. M. Briiton voit lemême oifeau dans celui quAïdrovande nommecirlus flultus : lute<se tertinm geiius ; Genuse, cia fel-vatica,(Cia montauiiia; Bononienfibus, cirlo matto,Ihid. pag
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