Des occultes merveilles et secretz de nature, avec plusieurs enseignemens des choses diverses, tant pat raison probable, que par coniecture artificielle: exposées en deux liures, de non moindre plaisir que profit au lecteur studieux, avec deux tables, l'une des argumens des chapitres, l'autre des singulieres matieres d'iceux . oudres, cela dénote la tcm-3efî:e,& des vents fort vehemcns, ôc vne horiible:ourmenre dcuoir bien toft aducnir fus mer. Carjuandvnc telle mdifpofition de Vik eft excitée)Utre que porte la fa!fon,& conrrc lordre de na*ure, il faut neceflairement que la caufc foit mer-leil
Des occultes merveilles et secretz de nature, avec plusieurs enseignemens des choses diverses, tant pat raison probable, que par coniecture artificielle: exposées en deux liures, de non moindre plaisir que profit au lecteur studieux, avec deux tables, l'une des argumens des chapitres, l'autre des singulieres matieres d'iceux . oudres, cela dénote la tcm-3efî:e,& des vents fort vehemcns, ôc vne horiible:ourmenre dcuoir bien toft aducnir fus mer. Carjuandvnc telle mdifpofition de Vik eft excitée)Utre que porte la fa!fon,& conrrc lordre de na*ure, il faut neceflairement que la caufc foit mer-leilleufement forte & puilfante, qui efmeut telsourbillons. Orny ay-ieiaraais prins garde quec iour daprès ne foient venues horribles tempê-tes & grolfes pluyes. Car la f. udre & le tonnerreIbnt ordmaires en Elle, les fîeures arden-esjlefquelles venans à faiiir la peifonne en tempsihyuer, il faut que cela feface par vne caufe fore! ehcmente , laquelle la contuanccé du temps naeu empefcher ôc reprimer. A quoy rend celc a- ^if^pocr^AhorifmedHippocras, que moins perilieufemér ^«34^-)nt malades ceux à la nature ou à laage oui lac^ phojn ou à la i^aifon du temps, la fi*re,uladie eft correfpondante que ceux ou la mala-ie na aucune alliance aucc idlcs choies. C c ii. DES OCCVLTES MERVIlt*L€S enfans dymer les ides chofes,cr dttoir horreur les *Vi |etUes Uydcs CT ridées . ^ cefie cutife qtitl ne IlesfAHt coucher en mefme lit auec elles,Cr | hcÂttcouf moins A leurs fieds* CHyîl\ L. k O \Mts pcifonnes fe d^le(51:ct en chcTes belles & plaifantes : mais fur toujJjkspcrisenfans,lefquels comme ij^(bnt vifs & faifans mille petites plaj^lanteries,auilî fort cntcntiucment i|regardent le feu, les chandelles ou torches alkmécsjles eftincelles çâ & là volâtes,ôc tortes chtTes qui flamboient, & ayment merueilleufemeitoutes parolles flateufes & qui Us amignardenQui fait que les plus chagrins enfans 6c les phdifhcilesàappaiferjncfetairent mieux pa
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