. Les chemins de fer . tres parconséquent sur 1 myriamètre. Cette prudence, biennaturelle au début dune industrie nouvelle qui pri-sait fort la méthode expérimentale, était dailleursprescrite aux compagnies par ladministration desponts et chaussées de France. Telle est, encore aujourdhui, la limite adoptée danstous les parcours de lignes de fer, où lon n a pointà traverser des régions tout à fait éanmoins il arrive que des inclinaisons variant de«S à \2 millièmes ont été acceptées pour dassez longsparcours : ainsi sur le chemin de Strasbourg, aux en-virons de Bar-le-Duc, on trouv


. Les chemins de fer . tres parconséquent sur 1 myriamètre. Cette prudence, biennaturelle au début dune industrie nouvelle qui pri-sait fort la méthode expérimentale, était dailleursprescrite aux compagnies par ladministration desponts et chaussées de France. Telle est, encore aujourdhui, la limite adoptée danstous les parcours de lignes de fer, où lon n a pointà traverser des régions tout à fait éanmoins il arrive que des inclinaisons variant de«S à \2 millièmes ont été acceptées pour dassez longsparcours : ainsi sur le chemin de Strasbourg, aux en-virons de Bar-le-Duc, on trouve deux rampes en senscontraire, inclinées de 8 millièmes et dont la lon-gueur totale arrive à 20 kilomètres : sur les cheminsde Manchester à Liverpool et de Bristol à Londres,il va des pentes de 1 centième, de M à 12 millièmes: ^ PULMIKRE PARTIE. — LA VOIE. il est vrai ilo dire »|uo leur loniiiieiir ne ilépasso j»a^r) kilomètres . Au s(Trtir dÉtampes, et longeant la vallée de lHé. Fig. IG, — Rampo dÉlarapes sur l;i ligne . nierv, le chemin de ler de Paris à Orléans monte sur * Les chemins de fer. au point de vue de leur tracé, peuvenl sediviser en : chemins à pentes faibles, — à pentes moyennes. — à fortes pentes, selon qne linclinaison reste, pour les premiers, au-dessous de 8 milli-mètres; pour les seconds, entre 8 et 10 nnllimètres; pour les autresenliii, au-dessus de 10 millimètres. (Pevdonncl. Traite des chemin fi de fer.) ■j. 40 LES CHEMINS DE FElî. le ])lateau de la Beauce par une rnmpe de 6500 mè-tres de longueur, et sélève de 50 mètres au-dessusdu point de départ (fig. 16). Cest, commeon voit,8 millièmes dinclinaison. Indépendamment de linclinaison, ce tronçon deligne offre aussi — le dessin qui précède en fait foi— une courbure assez prononcée, sur un des remblaisles plus considérables du cliemin dOrléans. Cettepente pouvait être évitée par les ingénieurs en cboi-sissant pour le tra


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