. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. IMIill'.nioN 399 dès le (l('l)ul <1(' lu «icnniiialioii. nièaïc (jiiaïul les jeunes plaa- tules sont enlièreiueiil suhniergées. Si, au lieu de se ln)riier à étendre son eonlour, cest-à-dire à s'accroître en surface, la cellule est appelée en outre à épaissir sa niend)rane, à saccroUre en épaisseur, les parti- cules cellulosiques nouvelles, sécrétées dans ce but par la. Fiff. 572. — Cou|ie tran
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. IMIill'.nioN 399 dès le (l('l)ul <1(' lu «icnniiialioii. nièaïc (jiiaïul les jeunes plaa- tules sont enlièreiueiil suhniergées. Si, au lieu de se ln)riier à étendre son eonlour, cest-à-dire à s'accroître en surface, la cellule est appelée en outre à épaissir sa niend)rane, à saccroUre en épaisseur, les parti- cules cellulosiques nouvelles, sécrétées dans ce but par la. Fiff. 572. — Cou|ie trans\t'^^al^? de doux libres libéiieunes du DLoon (D. edule. Cyradée). montrant les couclies concentriques claires et sombres de la paroi et la cavité axilc ctniilc (gi-. ; 400). couclie proloplasnii(|iie hyaline, s appli(|uenl siniplenienl à I intérieur de la nieniltrane déjà existante, en couclies succes- sives (fig-. 572), justjuà oblitérer parfois la cavité cellulaire, comme il arrive pour les cellules ou libics de sclérenclivme. Dans ce dej-niercas, la production de particules de membrane est Mianifestenu'ul liée à la fonte du corps protoj)lasmi(jue: car ce dernier se résorbi-. à mesinr (|ue réjiaississeineni par apposition progresse. 2" Imbibition. — Dans les cellules vivantes à parois plus ou moins épais- sies et résistantes, et par suite peu extensibles, comme les cellules sclé- reuses, les fibres et les vaisseaux en voie de développement, la turfjescence ne joue qu'un rôle accessoire dans la croissance; c'est alors r/wi/OiV/jV/o/* tir la membrane qui intervient. tin pénétrant dans la membrane, l'eau en disjoint les molécules et assure pareillement finterposition de particules cellulosiques de nouvelle forma- tion, élaborées comme à l'ordinaire par le protoplasme adjacent. Dès que le dernier vient à dis|)arailre dans une libre ou dans un vaisseau en voie de dillorcnciation, la croissance de l'élément ces
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