Archive image from page 737 of Dictionnaire de physiologie (1897). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph02rich Year: 1897 '28 CERVEAU. d'erreur plus Ãnormes encore dans l'analyse psychologique d'où est rÃsultà le dogme de la supÃriorità intellectuelle du sexe masculin. On a vu plus haut que la diffÃrence sexuelle de la masse active de l'organisme est beaucoup plus grande que ne l'indique la diffÃrence de longueur ou de poids du corps. Autrement dit, la femme diffère de l'homme, en moyenne et sous ce rapport, beaucoup plus que les groupes masculins de la plus petite taille ne diffè
Archive image from page 737 of Dictionnaire de physiologie (1897). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph02rich Year: 1897 '28 CERVEAU. d'erreur plus Ãnormes encore dans l'analyse psychologique d'où est rÃsultà le dogme de la supÃriorità intellectuelle du sexe masculin. On a vu plus haut que la diffÃrence sexuelle de la masse active de l'organisme est beaucoup plus grande que ne l'indique la diffÃrence de longueur ou de poids du corps. Autrement dit, la femme diffère de l'homme, en moyenne et sous ce rapport, beaucoup plus que les groupes masculins de la plus petite taille ne diffèrent de la moyenne mas- culine. C'est pourquoi les divers centres encÃphaliques sont moins volumineux chez les femmes que dans les groupes masculins de petite taille. C'est pourquoi les diffÃrences sexuelles pondÃrales de ces centres nerveux ne sont qu'une simple accentuation des diffÃrences liÃes à la taille dans un même sexe, et l'on peut trouver dans les variations des centres encÃphaliques infÃrieurs une preuve de plus que la diffÃrence sexuelle du poids des divers centres encÃphaliques n'implique aucune infÃriorità physiologique. Par la perfection des fonctions bulbaires et protubÃranlielles, mouvements des yeux, de la face, de la langue, par la sensibilità de ces parties, par la phonation, le rire, les pleurs, les cris rÃflexes, la sÃcrÃtion salivaire, la rougeur rÃflexe, la circulation, la dÃglutition, la femme ne passe certes pas pour être infÃrieure à l'homme. Et cependant l'isthme et le bulbe sont plus petits dans le sexe fÃminin. Us ne sont pas tout à fait aussi petits, relativement, que le cerveau, mais je viens d'indiquer les causes de cette diffÃrence qui s'Ãlève à 4 centièmes seulement et qui existe aussi bien, dans chaque sexe, entre les groupes formÃs d'après la taille, avec des diffÃrences dues, Ãvidemment, à ce que la hauteur du corps reprÃsente trop infidèlement l'ensemble de la masse organique. C
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