. L'illustration : journal universel . doivent( In adossées à des iiioiuinu-nls ou à des massifs de n est pis responsable non plus des singularités allégoriquesdiisnpt celte Seiue qui se tourne le dos ;\ elle-même;Cl lit Miunilmco mise li on ne sait pourquoi, si ce nest|H)ui ip,nilii I lahiinihince des sous prélevés chaque jour surIl p ISS mts Lallégorie a été inventée pour le tourment desIl listes 11 la moindre joie des peuples. (Jmnt \ la convenance de telles décorations monumen-I ili s, cllen est guère justifiée par remplacement. Si ellessDUt itlmissiblesdu cûlé du guichet du Lou
. L'illustration : journal universel . doivent( In adossées à des iiioiuinu-nls ou à des massifs de n est pis responsable non plus des singularités allégoriquesdiisnpt celte Seiue qui se tourne le dos ;\ elle-même;Cl lit Miunilmco mise li on ne sait pourquoi, si ce nest|H)ui ip,nilii I lahiinihince des sous prélevés chaque jour surIl p ISS mts Lallégorie a été inventée pour le tourment desIl listes 11 la moindre joie des peuples. (Jmnt \ la convenance de telles décorations monumen-I ili s, cllen est guère justifiée par remplacement. Si ellessDUt itlmissiblesdu cûlé du guichet du Louvre, il fautnouer que de lautre côté, sur le quai Malaquais, ellesloi im ni une entrée un peu bien superbe pour arriver à laIhiiiIi |ii lia iiiaicliand de papillons ou au bureau de hhlan- hi II lit /,/■. lispérons quun jour, à diMaut dune rueciuviili I 11 111 iMidroit, on y élèvera quelque bel édilice, etquon mettra là quelque chose qui aille au pont aliii davoirun pont qui aille à quelque chose. A. J. ■ VAl/uiidaitct,)— Kive droite. — Ciilc droit. LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. 165 Courrier de Parla. Nous voici [à cheval encore une fois ; mais les coursesparisiennes se suivent et se ressemblent, et nous sommes lasde sonner la même fanfare, denregistrer la même victoire,et de glorifier les mêmes coursiers. Cependanl, il serait dif-ficile de passer absolument sous silence les dernières fêlesdonnées au Cliamp de Mars par la Société y avait tant de beau monde en calèche, à pied, à cheval, quelancien Longcliamp sest retrouvé dans la plaine de lEcolemilitaire. Voyez les magnifiques attelages, les voitures nou-velles, les robes nouvelles, les toilettes dété, toutes les ra-retés du luxe et de lélégance; et, sans compter le soleil, cellegrande rareté du dimanche à Paris, combien de présencesinattendues et de visages nouveaux ! Les étrangers semblentplus que jamais prendre le chemin do la capitale, et dan
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