L'illustration : journal universel . va(disparal- tre à toutjamais. Ce-pendant il ne fautpassy lier. Nous avonsvu quelquefois desminorités impercep-tibles donner uncruc-en-jambe aux gros-ses majorités. Cestquand le plateau de labalance estle plus basquil se relève, et jaiquelques pressenti-ments quil doit enêtre ainsi poiirla pein-ture famille ,1e Pnamest décidément mor-lo;i|nelalerrclui soit légère malgré teusles ennuis quelle nousa causé-. Les Millia-de et les Thémislo-cle;les Romulus. lesTarquins et les Brutus sont bien etdùmenl enterrés. Les che-valiers du moyen fige sont g


L'illustration : journal universel . va(disparal- tre à toutjamais. Ce-pendant il ne fautpassy lier. Nous avonsvu quelquefois desminorités impercep-tibles donner uncruc-en-jambe aux gros-ses majorités. Cestquand le plateau de labalance estle plus basquil se relève, et jaiquelques pressenti-ments quil doit enêtre ainsi poiirla pein-ture famille ,1e Pnamest décidément mor-lo;i|nelalerrclui soit légère malgré teusles ennuis quelle nousa causé-. Les Millia-de et les Thémislo-cle;les Romulus. lesTarquins et les Brutus sont bien etdùmenl enterrés. Les che-valiers du moyen fige sont gi-ant à côté des Grei - et des Ro-mains. Le Louis XIV est singulièrement perrutiue; le Louis \\est furieusement Pompadâur; la république et lempire, cest. grand dans lhistoire, mais cela esl gauche et étriqué en pein-ture; daill s il \ ,i là un élan, une audace, el dénergiques allures qui ne vonl pins à nos mœurs ni à notre goût. Quantà nous autres modernes, nous ne sommes même pas bon- a mettre en portraits. Reste lOrient; mais les louslanelles desAlbanais sont passées «le mode depuis longtemps. Le burnous el le ba au lie ni encore un peu ; mais il- neu onl pas pour une saison. Que faire en attendant larrivée de- jVbura- ffivùfls, des folo/s, des Chiquitoi el des Ottomaqutt. Evi-deuiiueni avant quil -oit peu. nous retournerons à Cérès cher-cliani -i Bile Proscrpinc; à lAurore aux doigts de rosej >Diane et ses nymphes i hassant dans les profondeurs des bois, LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. 12 \ et à Venus ; Vénus la déesse dela beauté et des amours ! Dequoi donc soccupe lart sil nesoccupe pas de cette déesse-là? Ne doit-elle pas être pourlui un éternel sujet damour etde désespoir. La beauté, cestson but


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