. Le manoir des Boishaël . sans bruit lorsquelle sentenditappeler. « Vous avez besoin de moi, Bertrand? dit-elle. — Pas précisément; mais, ayant cru entendrele frôlement de votre robe dans la pièce voisine,jen profite pour vous dire que je veux seul LES ROSES DE LiSOLTA. 51 prendre soin de ce que vous voyez là, et il indi-quait lespèce de petit autel quil venait dé présent, quon ne nie parle jamais, je le répèteune fois de plus, de ceux pour lesquels cesfleurs nauraient jamais dû fleurir. » Mme de Boishaël remercia Dieu du fond deson cœur davoir ainsi dirigé les impressions deson mari,


. Le manoir des Boishaël . sans bruit lorsquelle sentenditappeler. « Vous avez besoin de moi, Bertrand? dit-elle. — Pas précisément; mais, ayant cru entendrele frôlement de votre robe dans la pièce voisine,jen profite pour vous dire que je veux seul LES ROSES DE LiSOLTA. 51 prendre soin de ce que vous voyez là, et il indi-quait lespèce de petit autel quil venait dé présent, quon ne nie parle jamais, je le répèteune fois de plus, de ceux pour lesquels cesfleurs nauraient jamais dû fleurir. » Mme de Boishaël remercia Dieu du fond deson cœur davoir ainsi dirigé les impressions deson mari, et put, quelques heures plus tard,rassurer son amie, Mme Dentérac, fort tourmen-tée à son tour lorsquelle avait appris le nouveautrait dimprudence dont Raymonde sétait renduecoupable. « Si cela a bien tourné, tant mieux, mon en-fant, dit-elle après avoir connu les détails quiprécèdent, mais pénètre-toi donc bien de lidéequà ton âge on a besoin de lexpérience desautres pour se conduire. ». x^r\


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