. Les Français peints par eux-mêmes . arthénope pour Naples, et Lutécepour Paris ; il passe insouciant devant les grandes œuvresde Robert de Luzarches, de Jean de Cbelles, et autres ar-chiiectes catholiques; mais il se pâme daise à laspectdun fronton soutenu par une monotone rangée de co-lonnes corinthiennes. Comme corollaire du poêle classique se présente lau-teur de poésies légères. Cest un homme de loisir, cest-à-dire un êlre dont le métier consiste à ne rien faire, àrecevoir et à rendre des visites, et à consommer à la villece qui produisent les habitants des campagnes. « Silvoulait sen do


. Les Français peints par eux-mêmes . arthénope pour Naples, et Lutécepour Paris ; il passe insouciant devant les grandes œuvresde Robert de Luzarches, de Jean de Cbelles, et autres ar-chiiectes catholiques; mais il se pâme daise à laspectdun fronton soutenu par une monotone rangée de co-lonnes corinthiennes. Comme corollaire du poêle classique se présente lau-teur de poésies légères. Cest un homme de loisir, cest-à-dire un êlre dont le métier consiste à ne rien faire, àrecevoir et à rendre des visites, et à consommer à la villece qui produisent les habitants des campagnes. « Silvoulait sen donner la peine, assure-t-il, il éclipseraitVictor fliigo; mais provisoirement il se contente de sedélasser détudes plus sérieuses, au moyen de la poésie.»Il daigne rimer, le gentilhomme ! il polit de petits versde société, de petits compliments, de petites fables, depetites épitres, des bouquets à Chloris, lépitaphe duné[iagneul chéri, des charades et des acrostiches. Il cul-tive notamment le UNE dame 0 ll»V>IT INVITÉ A HE BENHUE A SA MAISON 11CAMPAGNE, A jat IllirilNDU QUE JE NE POUVAIS ï, QUE jiÎTAIi IIETENU lAil UNE INTRICCE daMOI H. Iris, charmant objet ipio lonfant de CylbèiePans les bois de Paplios nuiiiit pris pour sa mère, • Tout le moiido rteviiiera sous celle simpli ilisigiiation la belle de ..., née coiiilesse de .... dont les cliariiies eiubtlUssent lesriilci les plus disllngués de la rapilale. {Noie de lauteur du madrigal.) En votre heureux séjour*, ah! ne mattirez pas;Je suis, vous le savez, épris dune autre belle *. En voyant vos divins appas, Je craindrais trop diître infidèle. Allusion à la ravissante maison de campagne que poss&de madamela baronne , née comtesse de .... au riant village de ..., sur lepenchant du coteau , si renommé par lexcellence de ses carrièresà piaire. (M.) Aulre allusion i la charmante marquise , maintenant ma-dame


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