. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... Cette voyelle ou a pour vocable fa^(Heluholtz, 176, v. d.). La vo^elle ou est plus aisément arti-culée et émise sur les notes contiguësau /?a^ facile aux barytons; ou encoreau fa (88 v. d.), note presque extrêmedes basses. La voyelle E, dont la vocable est fa^aura comme notes les meilleures fa^fa^, si bémol- (partie moyenne environde léchelle vocale). Si lon veut bien réfléchir et apprécieravec soin ces données, cependant ap-proximatives et variables presque avecchaque observateur, on voit encore icicombien, dans larticulation l
. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... Cette voyelle ou a pour vocable fa^(Heluholtz, 176, v. d.). La vo^elle ou est plus aisément arti-culée et émise sur les notes contiguësau /?a^ facile aux barytons; ou encoreau fa (88 v. d.), note presque extrêmedes basses. La voyelle E, dont la vocable est fa^aura comme notes les meilleures fa^fa^, si bémol- (partie moyenne environde léchelle vocale). Si lon veut bien réfléchir et apprécieravec soin ces données, cependant ap-proximatives et variables presque avecchaque observateur, on voit encore icicombien, dans larticulation la meilleuredes timbres voyelles, la notion timbreest insépaniblf de la notion hauteur. On serait porté à établir, comme règlede travail, que chaque voix, pour réaliser un maximum deffet en même temps quun minimumdelîorts, devrait progressivement saccoutumer ànémettre une voyelle, et tout élément sonoie du lan-gage que sur leur vocable. Mallieureusemenl, la recherche des vocables parles dilférents expérimentateurs a doimé lieu à des. FiG, 80. — Formation verbale et timbre, articulation nasaleET buccale de la parole. — Altitude vocale de JN. 1. Aucun des travaux dHEtMHOLTZ, de Koénig; deDoNDEBS, de Traltmasn, sur ce sujet, nar-rive à desrésultats analogue^!. Voir aussi M. Mahichelle, Bévue fjénérale de V Enseignement desSourds-Aniets. avril 1909, page 219. GocNOD avait projeté, quelques années avant sa moTt, décrire uneméthode de chant, non pas sans* doute un traité vocal proprement une série de notes sur lesthétique du chant, quil connaissaitet pratiquait de manière incomparable. Etant à Saint-Cloud, il commença de dicter chaque malin àsa nièce,M™ Duglé (à qui tes compositeurs modernes doiv,*nt tous tant degratitude), quelques pages de ce livre qui ne fut québauché, car GoD^?oDse lassa vite de ce travail et ne te continua pas ; on ne peut assez ledéplorer. Voici donc ce quil y est dit à propos des nuances: w On s
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