Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . tal coloriées par des arbres im-menses, dont quelques-uns ont le pied dans les bassins mêmes. Cest bien assez quil existe des hommes () » Ils furent tiouvi^s dans une anse de la grande ile qui forme celle baie, el que, pour celle raison, on a nomnue lileaux Marteaux. » (Noie de Bougainville.) — On nomme aujourdhui celle ile Laniboun ou Le m
Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . tal coloriées par des arbres im-menses, dont quelques-uns ont le pied dans les bassins mêmes. Cest bien assez quil existe des hommes () » Ils furent tiouvi^s dans une anse de la grande ile qui forme celle baie, el que, pour celle raison, on a nomnue lileaux Marteaux. » (Noie de Bougainville.) — On nomme aujourdhui celle ile Laniboun ou Le miirleati est un niollus(|ue bivalve; sa coquille est presque éiuivalve, rabobuse, diflorme, souvent allongce ù lopposdde la charnière, el plus ou moins élargie à la base, eii deux lobes figurant des oreillettes, ou les doux cotés dun marteau. () Voy. p. 340 3-iO YOYAGELTiS .MODERNES. BOUGAINVILLE. piivilégiés, dont le pinceau hardi peut nous tracer limage de ces beautés inimitables; cette cascademériterait le plus grand peintre. Cependant notre situation empirait à chaque instant que nous demeurions ici et que nous perdionssans faire de chemm Le non bie et lis niau\ de nts sinl nliq ils lu mentnient L tquipnj,e de lEtoile. Vue (le la cascûde Boiigainville, lians k- poil Piaslm ().— Dapi es une cslainpc de lAllas de la Coquille. était encore dans un étal pins triste que le nôtre. Chaque jour, jenvoyais des canots dehors reconnaîtrele temps. Cétait constamment le vent du sud presque en lonrmente et une mer alTreuse. Le 25, les deux navires parvinrent enfin à sortir du Port-Praslin. Nous suivîmes la côte, environ à trois lieues déloignemcnt. Elle rondissaitinsensiblement, el bientôtnous aperçûmes au large des îles qui se succédaient de distance en distance. Nous passâmes entre elleset la grande terre, et je leur donnai le nom des officiers des états-majors. Il nétait plus douteux quenous côtoyions la Nouvelle-Bretagne. Cette terre esttr
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