Le masque ; L'enfant de l'amour . elame change. C« que je vais vous annoncervous étonnera plus encore. (Allant à la ren-contre (le Tidijij et de Bouyon.) Bonjour, SCENE II me faites de la réclame, mon cner. Oui,mademoiselle, cest moi, bien que je pro-fesse sur ce sentiment des idées bien diflEé-rentes de celles de lhygiéniste. Jestime quele bon Dieu sest occupé de lamour, grossomodo, et à une époque où son éducation debon Dieu nétait pas encore en sorte Les Mêmes, VALGY, BOUYOU VALGY et BOYOU, à André qui leur a ou-vert la porte. — Ça va? Bonjour, vous. Elles saluent
Le masque ; L'enfant de l'amour . elame change. C« que je vais vous annoncervous étonnera plus encore. (Allant à la ren-contre (le Tidijij et de Bouyon.) Bonjour, SCENE II me faites de la réclame, mon cner. Oui,mademoiselle, cest moi, bien que je pro-fesse sur ce sentiment des idées bien diflEé-rentes de celles de lhygiéniste. Jestime quele bon Dieu sest occupé de lamour, grossomodo, et à une époque où son éducation debon Dieu nétait pas encore en sorte Les Mêmes, VALGY, BOUYOU VALGY et BOYOU, à André qui leur a ou-vert la porte. — Ça va? Bonjour, vous. Elles saluent Geneviève. GENEVIÈVE. — Asseyez-vous donc, je vousen ANDRÉ, présentant. — Miss Netche Hems,ka traductrice bien connue. VALGY. — Madame. NETCHE, rectifiant. — Non : madeanoi-uelle, si ça ne vous fait rien. BOLYou, à .i-ndré. — Oh! je me cest mademoiselle qui a traduit ceromain que vous mavez prêté, sur lAmourthérapeutique. NBTCHE. — Jaime à constater que vous. NETCHE. — Etes-vous content 7 que nous en sommes réduits à des moyen.^un peu barbares. Maintenant que son goûtartistique doit être plus raffiné, quel repen-tir il doit éprouver!... Adieu, Geneviève, àtout à à dî (A André, en ) Jai dit mon petit Etes-vouscontent ? .4NDRÉ, refermant la porte en riant. —Cest une excellente Elle est venuesinstaller chez nous pour lExposition. GENEVIÈVE. — Elle a la vie un peu dure,et nous sommes enchantés de ce^te Je laime infiniment. ANDRÉ. — Et elle a dit juste, vous savez?cest c( un vieux vierge ». VALGY. — Elle nest pas jolie, jolie, ANDRÉ. — Pauvre femme!... Une fois, ootila demandée en mariage. Elle sondanseur sest embarrassé dans sa ilssont tombé A la suite de cet incident, ilvoulut lépouser. A quoi elle répondit > :(( Non, mon cher, parce que vous êtes tou-jours saoul, et je ne suis pas
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