. Bulletin du MuseÌum d'histoire naturelle. Natural history. â 50 â la figure i, on voit que le collier, en extension dans sa partie antérieure, forme une ample collereLle largement ondulée autour de la tromj)e; dans la partie postérieure à demi contractée, qui seml)le ])lus large que la région précédente et sépçirée d'elle par une rigole circulaire, on distingue le sillon collaire cl le sillon tronco-collaire avec sa pointe postérieure ventrale. La longueur du collier atteint ici i5 millimètres en certains points; il est vraisemblable d'admel Ire qu'à l'état d'exten- sion complè
. Bulletin du MuseÌum d'histoire naturelle. Natural history. â 50 â la figure i, on voit que le collier, en extension dans sa partie antérieure, forme une ample collereLle largement ondulée autour de la tromj)e; dans la partie postérieure à demi contractée, qui seml)le ])lus large que la région précédente et sépçirée d'elle par une rigole circulaire, on distingue le sillon collaire cl le sillon tronco-collaire avec sa pointe postérieure ventrale. La longueur du collier atteint ici i5 millimètres en certains points; il est vraisemblable d'admel Ire qu'à l'état d'exten- sion complète il mesurerait de 17 à 18 millimètres, soit le double de ce que j'ai noté sur l'exemplaire conservé. Je n'ai discerné aucune trace des bandes longitudinales colo- rées dont parle Klunzinger et qui correspondraient, d'après lui, au Kragenmark de S])en- gel. La ])ortion conservée du tronc qui, sur la photogra- phie, mesure 8 centimètres de longueur, ne dépasse guère 6 centimètres chez l'exem- plaire conservé dans le for- mol et correspond à la région branchiale et à la partie anté- rieure de la région hépatique ; les ailes génitales s'étendaient au delà du niveau où la rup- ture s'est produite. Si l'on écarte les deux ailes génitales, on remarque un cordon axial (fig. A), c'est le vaisseau dorsal et, de chaque côté, deux gros bourrelets longitudinaux, dont la largeur décroît d'avant en arrière, et de part et d'autre de ceux-ci, des masses de disposition en apparence annelée due vraisemblablement à l'état de contraction de l'animal conservé, avec des stries transvei^ales très marquées : on sait en outre que les fentes bran- chiales olTrent un allongement caractéristique chez le Ptychodem enj- thrÅ Fig. â Partie antérieure du tronc, vue par la face dorsale, les ailes génitales A étant écartées. C. Collier. fjioii branchiale. â
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