. Bulletin des sciences. Société philomathique de Paris; Science. ( i6i ) dépourvues d'appendices apicilaires, sont entregrefFées parles bords en leur partie intérieure seulement, libres et écartées l'une de l'autre en leur partie supérieure; 3". que le style est indivis, glabre, ter- mina au sommjt par un stigmate très-simple, peu appareni; 4°. que la cavité du fruit est remplie par une graine suspendue au sommet de cette cavité par un très-petit funicule qui s'insère à côté de la pointe de la graine, et que cette graine reui'errae, sous une tunique membraneuse, un albume
. Bulletin des sciences. Société philomathique de Paris; Science. ( i6i ) dépourvues d'appendices apicilaires, sont entregrefFées parles bords en leur partie intérieure seulement, libres et écartées l'une de l'autre en leur partie supérieure; 3". que le style est indivis, glabre, ter- mina au sommjt par un stigmate très-simple, peu appareni; 4°. que la cavité du fruit est remplie par une graine suspendue au sommet de cette cavité par un très-petit funicule qui s'insère à côté de la pointe de la graine, et que cette graine reui'errae, sous une tunique membraneuse, un albumen charnu, épais, dont l'axe est occupé par un embryon cylindracé et droit. M. Henri Cassiui fait remarquer 1°. que les Boopidées difîèrent principalement des vSynanthérées par la forme des anthères qui sont privées d'appendices apicilaires, par la conformation du style et du stigmate, et par la graine qui est suspendue au sommet de la cavité de l'ovaire, et qui contient un albumen charnu très-épais; 2". que les Boopidées diffèrent des Dipsacées, entre autres caractères , par les nervures submarginales de la corolle , et par la connexion des an- thères ; 5". que les Boopidées participent des Synanthérées et des Dipsacées par la nervation mixie de la corolle, qui offre tout à la fois des nervures médiaires et des nervures submarginales, ainsi que par la disposition des anthères, qui sont entregreflées en leur parlie inférieure, libres et même écartées l'une de l'autre en leur parlie supérieure. L'auteur conclut que ce petit groupe formera une transition très- naturelle et très-satisfaisante de la famille des Svnanthérécs à celle des Di[)sacées, et qu'en confirmant leurs rapports, il rendra cette série tout-à -1'ait indissoluble. 1816. Obseivations qui prouvent Vindépendance absolue des forces polarisantes qui Jont osciller
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