. L'Abbe Constantin . la rencontrede la voiture. Cétait Paul de Il faisait là le guet,depuis une heure, pour avoir le plaisir de voirpasser les Américaines. — Vous vous trompez, dit Suzie à Bettina, voiciquelquun. — Un Ça ne compte les paysans ;ça ne demande pas ma main. — Ce nest pas du tout un paysan. de Lavardens, en passant à côté de la voiture, fit aux deux sœurs un salut de la plushaute correction et qui sentait tout à fait sonParisien. Les poneys couraient si vite que la rencontre eutla rapidité dun éclair. Bettina sécria : — Suzie ! — Bettina


. L'Abbe Constantin . la rencontrede la voiture. Cétait Paul de Il faisait là le guet,depuis une heure, pour avoir le plaisir de voirpasser les Américaines. — Vous vous trompez, dit Suzie à Bettina, voiciquelquun. — Un Ça ne compte les paysans ;ça ne demande pas ma main. — Ce nest pas du tout un paysan. de Lavardens, en passant à côté de la voiture, fit aux deux sœurs un salut de la plushaute correction et qui sentait tout à fait sonParisien. Les poneys couraient si vite que la rencontre eutla rapidité dun éclair. Bettina sécria : — Suzie ! — Bettina ! — Quest-ce que cest que ce monsieur qui vientde nous saluer? — Jai eu à peine le temps de le voir, mais ilme semble bien que je le connais. — ^ ous le connaissez ? LABBE CONSTANTIN 119 — Oui, et je parierais que je Tai vu cet hiverchez moi. — Et moi aussi, je crois bien lavoir MonDieu! serait-ce un des trente-quatre? Oh! Suzie,ma Suzie, est-ce que cela va encore recommencer?.


Size: 1556px × 1605px
Photo credit: © Reading Room 2020 / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1880, bookidlabbeconstat, bookyear1888