Archive image from page 256 of Dictionnaire de physiologie (1895). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph00rich Year: 1895 FECONDATION. 24î> un mode aiialogui- à la cclluli'-iiii'-re ili's de [lolleii. Mkvk) a vu, dani les speinialo- c\ les de prentier ttidiede la salamaiidn' au slade (jplolonm'r, se foimer, par scission trarjs- versalt', 12 chioinosoines (au lieu de 2irf()inriie dans la mitose des cellules somatiques). Ces chromosomes rÃprÃsentaient dÃjà des cerceaux contournÃs en divers sens. Au stade de la platjue Ãqualoriaie, les 12 chromosomes se placent paraUÃiement
Archive image from page 256 of Dictionnaire de physiologie (1895). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph00rich Year: 1895 FECONDATION. 24î> un mode aiialogui- à la cclluli'-iiii'-re ili's de [lolleii. Mkvk) a vu, dani les speinialo- c\ les de prentier ttidiede la salamaiidn' au slade (jplolonm'r, se foimer, par scission trarjs- versalt', 12 chioinosoines (au lieu de 2irf()inriie dans la mitose des cellules somatiques). Ces chromosomes rÃprÃsentaient dÃjà des cerceaux contournÃs en divers sens. Au stade de la platjue Ãqualoriaie, les 12 chromosomes se placent paraUÃiement au fuseau acliromatiiiue, et chacun s'Ãtire en losange, ce qui imprime à la piaijue nuclÃaire l'asiiect caractÃristique d'un tonnelet. Ensuite, le losange se rompt au plan Ãquatorial ; chaque moitià se rend au pôle correspondant. Pendant que la moitiÃ, ou charpie chromosome simple, se lend au pôle, on y voit dÃjà des indices du dt-douhlement (jui ne sera achevà qu'à la division suivante. deuxième division suit, en effet, de près la première, sans stade de repos, c'est-à -dire sans accroissement des chromosomes; elle consiste, poui' ainsi dire, dans le simple dÃdoublement longitudinal des 12 chromosomes de sorte qu'ils viennent former une plaque nuclÃaire de 2i chromosomes. Après leur rÃpartition à chacun des pôles du fuseau, chacjue noyau-petit-fils reçoit 12 chromosomes. .\insi chaque celUile-pelite-lille, ou spermatocyte de tieuxième ordre, ne reçoit en faitde substance <hromalique que la moitià du corps de chacun des chromosomes qu'on observe dans la cellule-tille. La dillÃrence nuclÃaire de la cellule-petite-fille porte uniquement sur la lÃduction quantitative. Les phÃnomènes de la spermatogÃnèse se passent d'une façon analogue chez nombre d'Ãties infÃrieurs. Uuauer, qui a Ãtudià à fond la formation des spermatozoïdes chez iMscdrts megalocephala, trouve que chacun de ces ÃlÃments ne
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