. Histoire. endent que la quintaine apris fon nom du latin quintus, de ce que cesfortes de jeux fe faifoient de cinq ans en cinqans; dautres difent quun nommé Quintus en futlinventeur. De Robert de Lezardieres, en Poitou, dargentà trois quint aines de gueules. QUINTE-FEUILLE, f. f. fleur à cinq fleuronsarondis , ayant chacun une pointe, & dont lecentre eft percé en rond, de manière que lonvoit le champ de lécu à travers. Serent de Kerfelix, en Bretagne, dor à troisquinte-feuilles de sable .^ Dupleffis Chàtillon de Nonant , au Maine ,dargent à trois quinte-feuilles de gueules. Renouard, dargent
. Histoire. endent que la quintaine apris fon nom du latin quintus, de ce que cesfortes de jeux fe faifoient de cinq ans en cinqans; dautres difent quun nommé Quintus en futlinventeur. De Robert de Lezardieres, en Poitou, dargentà trois quint aines de gueules. QUINTE-FEUILLE, f. f. fleur à cinq fleuronsarondis , ayant chacun une pointe, & dont lecentre eft percé en rond, de manière que lonvoit le champ de lécu à travers. Serent de Kerfelix, en Bretagne, dor à troisquinte-feuilles de sable .^ Dupleffis Chàtillon de Nonant , au Maine ,dargent à trois quinte-feuilles de gueules. Renouard, dargent à une quinte-feuille de gueu-les. (Pi. VIII, fig. 406. ) Morifot, en Bourgogne, dargent à la oumte-feuille de gueules, acompagnée de trois mûres desable. Patornay , en Franche-Comté , dazur à unequinte-feuille dor en cœur, acompagnée de troiscroifTans dargent. ^Roskorel, en Bretagne, dor à une quinte-feuilledazur, enfilée en cœur par une flèche de gueulesen bande, la pointe en \ 151 R A C R ACCOURCI, iE,adj. ce mot fe dit despiectshonorables qui ne touchent point les bords delecu j ceft la même chofe que coupé, alaise ouale-J. ( D. J. ) RACE, f. f. ( terme de Généalogie ) generationcontinuée de père en fils ; defcendans & afcen-dans dune ligne noble, anciene & illultre. Le mot race tire fon étymologie du latin radix,icis, qui fignifie la racine généalogique dune pof-térité, dont on ne connoît point le commencement.( G. D. L. T. ) Race, f. f. ( Généalo. ) ce mot eft fynonyme ànaiflance. Madame de Lambert dit dans ce dernier fens ,que vanter fa race, ceft louer le mérite le mérite des pères rehaufle la gloire des en-fans qui les imitent, il eft leur honte quand ilsdégénèrent .• il éclaire également leurs vertus &leurs vices. Ceft un heureux préfent de la fortunequun beau nom; mais il faut favoir le porter. „Je„ ferai le premier de ma race, & toi peut-être le„ dernier de la tiene „, répondit Iphicr
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