Journal Francoise 7 oct 1905 . t reconnu les mérites de cette découver-te merveilleuse, Dernièrement, la Commis-sion des Finances a voté tm crédit de: $$00pour faire faire un dépôt de la médecine dmDr Maekay dans tous les postes de police,afin dempècier, par wse prompte applica-tion dans les cas urgents, les décès qii se produisent si fréquemment dans ks cellu-les. Pas besoin dinternement au Sanatorium:le traitement peut se donner à la besoin non pins de diète spéciale:. Toutce qs^iî faut, cest la volonté dn malade 4sse guérir et de sabstenir de spiritueux. Cette médecine est mainte


Journal Francoise 7 oct 1905 . t reconnu les mérites de cette découver-te merveilleuse, Dernièrement, la Commis-sion des Finances a voté tm crédit de: $$00pour faire faire un dépôt de la médecine dmDr Maekay dans tous les postes de police,afin dempècier, par wse prompte applica-tion dans les cas urgents, les décès qii se produisent si fréquemment dans ks cellu-les. Pas besoin dinternement au Sanatorium:le traitement peut se donner à la besoin non pins de diète spéciale:. Toutce qs^iî faut, cest la volonté dn malade 4sse guérir et de sabstenir de spiritueux. Cette médecine est maintenant à la por-tée de tous, ïe pris en ayant été ré effets étonnants qaVîlè a produits sutles ivrognes les plus invétérés cités encour correctionnelle à Québec et à Mont-réal prouvent que lalcoolisme est une ma-ladie guérissable. SADRESSER A LA Leeming Miles Co., Ltd. 288 rue Si-Jacques, Montréal Seuls agents ponr la vente dn du Dr MACKAY pour la guAriio* d* LE JOURNAL DE FRANÇOISE. DEUXIEME PARTIE (Suite); —Eh bien? questionna-t-elle, voy-ant quil demeurait, silencieux. —Eh bien, je ne my connais guè-re, vous le savez, mais je trouveque, selon votre habitude, cest sim-ple et distingué. , —Bravo, Jacques! vous vous for-mez. Admirez aussi, très cher, com-me je reste fidèle aux enseignementspieux du couvent: la couturière,malgré mes recommandations, avaitéchanert outrageusement mon corsa-ge ; jai dû, avec Daisy, imaginercette roche, mue vraie trouvaille !On voit juste mon cou, et je ressem-ble à une marquise de Lancret. Ve-nez avec moi, nous embrasseronsRose!. Dun geste câlin, elle passa unemain sous le bras de son mari, tan-dis que, de lautre, elle relevait lalongue traîne de sa robe ; et, tousdeux, étouffant le bruit de leurspas, ils allèrent dans une chambrequi semblait un nid de mouette ouune demeure dange, tant il y avaitde blancheur et de moelleux partout. Cétait, en effet, le plus délicieuxdes anges qui dor


Size: 1935px × 1292px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1900, bookdecade1900, bookidjournalfranc, bookyear1905