. Bulletin de la Société botanique de Genève . — Juglans regia. Section transversaleéquatoriale, feuille biendéveloppée. cellules annexes. Le parenchyme est très lacuneux, la chambre sous-stomatique très grande. On a déjà parlé de lanalogie qui existait entre les Térébenthinées,Anacardiacées et les Juglandées, certains botanistes ont même ajouté (57) L. REHFOUS. ETUDE SUP, LES STOMATES 301 que si JugUniH possédait des poclies sécrétrices, il feudrail le mettreparmi les Térébenthinées ; or, à lexamen des stomates, on ne peutquêtre frappé par lhomologie qui existe entre la structure de ceux deJi


. Bulletin de la Société botanique de Genève . — Juglans regia. Section transversaleéquatoriale, feuille biendéveloppée. cellules annexes. Le parenchyme est très lacuneux, la chambre sous-stomatique très grande. On a déjà parlé de lanalogie qui existait entre les Térébenthinées,Anacardiacées et les Juglandées, certains botanistes ont même ajouté (57) L. REHFOUS. ETUDE SUP, LES STOMATES 301 que si JugUniH possédait des poclies sécrétrices, il feudrail le mettreparmi les Térébenthinées ; or, à lexamen des stomates, on ne peutquêtre frappé par lhomologie qui existe entre la structure de ceux deJiif/lans et de ceux de Piatacia lentiscas. CUPULIFÈRES Betula alba Comme nous pouvons le voir en examinant Ja figure ci-dessous, lestomate de Betula ressemble beaucoup, à part quelques caractères dedétail, à celui de rerjia ; on peut bien, en effet, le considérercomme appartenant au type « Iris » ; Jes caractères nouveaux absentsou peu développés chez Juglam sont, cliez Betula alba, beaucoup mieux. Fig. 53. — Betula alba. Section ti-ansver-sale éqiiatoriale. marqués. En outre, la coucbe de cutine qui constitue ces becs inté-rieurs, se prolonge non seulement le long de la péricline interne de lacellule de bordure, mais aussi le plus souvent le long de celle de lacellule annexe. Cette dernière, dont la péricline externe seule étaitépaissie chez , possède, chez Betula, un deuxième épaississe-ment qui vient renforcer la péricline interne; seule donc, la régionmédiane ne subit aucune modification; il est à remarquer (pio lesanticlines sont spécialement minces dans cette dernière région, per-mettant ainsi, non seulement la communication de la cellule annexeavec la cellule de bordure, mais aussi celle des cellules annexes entreelles. Quant à la couche de cutine qui recouvre les cellules de bordure elles cellules annexes et épidermiques, elle est assez forte et mieuxmarquée que chez Juglans. 302 BULLETIN D


Size: 2467px × 1013px
Photo credit: © Reading Room 2020 / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1900, bookdecade1900, bookidbulleti, booksubjectbotany