Archive image from page 900 of Dictionnaire de physiologie (1895). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph01arich Year: 1895 878 AUDITION. mètres de dÃplacement de la cloison. D'autre part, dans mes Ãludes sur les mouve- ments lympaniques au moyen de la mÃthode graphique, les tracÃs montrent que le mouvement de la dÃglutition retentit sur la cloison et la dÃprime très lÃgèrement, voussure suivie de retour immÃdiat. Le crochet inscrit est plus fort, si l'on pince le nez; c'est un brusque, mais très lÃger, abaissement de niveau, avec retour instantanà à la nor- male, qui l'indique. L
Archive image from page 900 of Dictionnaire de physiologie (1895). Dictionnaire de physiologie . dictionnairedeph01arich Year: 1895 878 AUDITION. mètres de dÃplacement de la cloison. D'autre part, dans mes Ãludes sur les mouve- ments lympaniques au moyen de la mÃthode graphique, les tracÃs montrent que le mouvement de la dÃglutition retentit sur la cloison et la dÃprime très lÃgèrement, voussure suivie de retour immÃdiat. Le crochet inscrit est plus fort, si l'on pince le nez; c'est un brusque, mais très lÃger, abaissement de niveau, avec retour instantanà à la nor- male, qui l'indique. L'Ãpreuve de Valsalva et surtout l'insultlation avec la poire de PoLiTZER provoquent, au contraire, une ÃlÃvation brusque de niveau, et Information d'une ligne d'ascension très ÃlevÃe, dont la courbe plus Ãtendue de descente se divise en deux zones; l'une immÃdiate à descente vive, l'autre plus lente, oblique, et d'autant plus FiG. 80. â TracÃs des mouvements du tympan (très amplifies); pendant l'Ãpreuve do Valsalva. a. Ãprouve do Valsalva qui refoule le tympan en dehors do n à h\ de là descente graduelle activÃe en c par une dÃglutition. â c, c', crochets de la dÃglutition; retour immÃdiat à la ligne d'Ãquilibre. longue que la trompe est moins permÃable {Ãtudes d'Otoloyie, t. r, 1870, et PrÃcis d'Oto- logie, 1880). On voit ainsi sur ces tracÃs les diffÃrences de mobilità en dehors et en dedans de la cloison tympanique. Cotmnent les pressions sur l'elrier affniblisspnt-eUis le courant sonore, aÃrien ou soli- dien? â Les pressions sur le tympan, les tensions intra-tympaniques dues à l'aÃration artificielle de la caisse (Savart, Wollaston) attÃnuent d'une façon sensible l'auilition aÃrienne. Quant à la perception crânienne, j'ai montrà que le fait existe aussi bien pour elle que pour la première; de plus, j'en ai donnà l'explication en montrant que ces mêmes pressions refoulent l'Ãtrier et l'immobilisant
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