Histoire de JMc NWhistler et de son oeuvre . ite du procès Ruskin, généralementadoptée, il se vit dans mie terrible situation. Il ne setrouva plus personne pour lui acheter des tableaux etbientôt il fut aux prises avec les difficultés pé frais de son procès à payer étaient devenus pour luiime première cause dembarras. Il avait à cette époque quitté la maison habitée desaimées à Cheyne Walk, Chelsea. Il était venu en occuper,non loin de là, une nouvelle dans Tite street, construitepar larchitecte Godwin, un de ses amis, et qui sétait appe-lée The White house, la Maison blanche. Il


Histoire de JMc NWhistler et de son oeuvre . ite du procès Ruskin, généralementadoptée, il se vit dans mie terrible situation. Il ne setrouva plus personne pour lui acheter des tableaux etbientôt il fut aux prises avec les difficultés pé frais de son procès à payer étaient devenus pour luiime première cause dembarras. Il avait à cette époque quitté la maison habitée desaimées à Cheyne Walk, Chelsea. Il était venu en occuper,non loin de là, une nouvelle dans Tite street, construitepar larchitecte Godwin, un de ses amis, et qui sétait appe-lée The White house, la Maison blanche. Il lavait décoréeà lintérieur dune façon simple, mais originale, en recou-vrant les murs et les lambris dune de ces combinaisonsde coloris, cette fois-ci jaune et bleue, quil aimait. Leluxe de lameublement consistait dans la collection quilavait réunie de porcelaine bleue et blanche chinoise, dis-posée avec fantaisie sur des étagères. Cette porcelaine ledélectait. Il y trouvait une de ces gammes de tons sobres 52. — LE VIEUX PONT DE BATTERSEA. (J^oclurne.) et transparents vers lesquels il se sentait spontanémentporté. En ce moment même, en 1878, il avait illustré lecatalogue de la collection de porcelaine de Sir H. Thomp-son de reproductions de vases, de coupes, dassiettes dunefidélité et dune précision comparables à celles des maîtreshollandais (i). Il avait pris lhabitude de recevoir le dimanche ses amiset les amateurs de peinture désireux de connaître sesœuvres. Ce genre de réception était une pratique, alorsadoptée à Londres par les peintres en renom, surtout smviependant les semaines qui précédaient lenvoi de leurstableaux aux expositions annuelles. Whistler sétait enplus mis à inviter à déjeuner ce jour-là des gens despritet des gens du monde. La chère était assez maigre, maisla conversation se poursuivait brillante. Ce genre de vienavait rien eu dexcessif, au moment où il lavait com-mencé. Il vendait alors assez fa


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