Le livre des peintres et graveurs . e musiqueOn y fait presquouïr les accents doux et là tant dinstruments y peignent leurs en connoist lusage et laimable pratique. XLVI II Ny fait-on pas aussi lesrezevils, les dentelles, La guipure nouvelle, ainsi que je lay dit ? Les étoffes de prix y trouvent leur crédit, Et là, manqueroit-on dapprendre cent nouvelles ? 78 LE LIVRE DES PEINTRES ET GRAVEURS. XLIX Là mesme on peut donc voir mille plaisanteries,La mascarade brusque avecque le balet,La courte et longue paulme, et le jeu du palet,Et la palestre antique, et les bouffonneries.


Le livre des peintres et graveurs . e musiqueOn y fait presquouïr les accents doux et là tant dinstruments y peignent leurs en connoist lusage et laimable pratique. XLVI II Ny fait-on pas aussi lesrezevils, les dentelles, La guipure nouvelle, ainsi que je lay dit ? Les étoffes de prix y trouvent leur crédit, Et là, manqueroit-on dapprendre cent nouvelles ? 78 LE LIVRE DES PEINTRES ET GRAVEURS. XLIX Là mesme on peut donc voir mille plaisanteries,La mascarade brusque avecque le balet,La courte et longue paulme, et le jeu du palet,Et la palestre antique, et les bouffonneries. L Ce qui touche en maints lieux les fables et lhistoireEst dailleurs si nombreux quil est presque infiniEt ne serviroit pas sil nestoit réuni,Afin den conserver quelque utile mémoire. LI Cest donc ce qui sest fait dun ordre méthodique,Aidé par les portraits des hommes vertueux,Dont le visage peint se conserve avec eux ;Ouvrage gracieux dans un temps pacifique. FIN Le nombre des vers contenus dans cette partie est de 1356. ay grand sujet de craindre que tant de noms,les uns bizarres et les autres assez peuconnus, lesquels sont employez dans touteretendue de cette partie des peintres et desgraveurs, ne plairont pas extrêmement à tout le monde,il se rencontre quelquun qui les lise : car les vers neont pas aimez de tous ceux qui veulent bien que F onroye quils sont du nombre des beaux esprits; et ceuxmi sont les plus capables den juger ?ie sont pas aussioujours dhumeur dapprouver tout ce que ? écris, enwelque genre que ce soit. Et cest aelà que quelques-unsfont pas fait de scrupule de blasmerces deux vers de maversion des cantiques x : Quil me baise toujours des baisers de sa bouche : Tous mes sens sont charmez au moment quil me touche. Au sujet du second, parce, disent-ils^ que le sens de ses | î. On ne doit pas sétonner, quand on connaît quelques lï-jj/res de labbé de Marolles, des explications quil donne ici surIles ouvrages qui nont aucun rapport avec lhisto


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