. Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910). Natural history -- Antarctica; Scientific expeditions -- Antarctica; Antarctica. moindres détails de ces pièces assez compliquées, et que la taille était identique. Un individu, provenant de Nuits-Saint-Georges (Côte-d'Or), trouvé parmi des matériaux envoyés par M. J. Derône et sur lequel j'ai pu étudier le fonctionnement du mastax à l'état vivant, était par contre un peu plus petit dans son ensemble comme dans ses pièces dures. Le mastax de N. torulosa (fig. 1) appartient au type virgé comme celui de la plupart des espè


. Deuxième expédition antarctique francaise (1908-1910). Natural history -- Antarctica; Scientific expeditions -- Antarctica; Antarctica. moindres détails de ces pièces assez compliquées, et que la taille était identique. Un individu, provenant de Nuits-Saint-Georges (Côte-d'Or), trouvé parmi des matériaux envoyés par M. J. Derône et sur lequel j'ai pu étudier le fonctionnement du mastax à l'état vivant, était par contre un peu plus petit dans son ensemble comme dans ses pièces dures. Le mastax de N. torulosa (fig. 1) appartient au type virgé comme celui de la plupart des espèces de ce genre, de toutes sans doute si on lui donnait son extension natu- relle, avec une lé- gère tendance vers le type forcipé com- me dans beaucoup d'entre elles. Le fulcrum (f\ forme F'g- l- â Mastax lie ^iotommala torulosa jDujardin) x 1130 environ, A, vue antérieure ; B, vue latérale gauche, au repos; G, vue postérieure : une lame trapézoï- D, vue latérale gauehe, pendant le mouvement de succion ;/", lulcruni : ;â¢, ramus ; ;/, uncus ; m, manubrium; ep, épipharynx ou pseudomalleus. dale, allongée verti- calement, non incurvée en sabre ni dilatée à l'extrémité inférieure, comme dans le virgé typique, nous allons voir pourquoi ; les rami (r), pourvus d'une petite alula bien développée, se recourbent en lyre dans le plan frontal, puis se coudent brusquement en arrière pour supporter les unci [u] ; ceux-ci, assez larges et lamelleux, ont des dents fort peu marquées. Les manubria [m) sont surtout remar- quables par le grand développement de l'aile antérieure qui s'eCTile en un crochet recourbé vers le bas, pas beaucoup moins grand que la tige prin- cipale. Rien de tout cela ne serait bien particulier. Mais, quand on exa- mine les trophi complètement isolés par l'hypochlorite, on aperçoit, super- posés aux mallei, deux pièces [ep, grisées sur l


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