La Lecture . — Comment, Monsieur Piudliommc, vous IrauSiOnucz vi)tre apparlcmcnt en niusûeCampana? ?• — Oui, madame, et à lavenir, vous me ferez lamitié dadopter le péplum elle cothurne. (Caricature de Darjoj, Charivari, 1865.) Le Gérant : F. Juven. Pull. — Iiap. PiSL Dspon (O.) Lne page du Chariiari : la [juiie royale. MILIEU DE SIECLE MÉMOIIIES DUX CRITIQUE Se raconter cest aussi raconter son éjjoiji/e; se jtcindre cestsouvent peindre ses contemporains. Les auteurs de Mémoires nontjtoint de meilleur titre ou de plus valable excuse. Si lon faisait depropos délibéré ce quils font pre


La Lecture . — Comment, Monsieur Piudliommc, vous IrauSiOnucz vi)tre apparlcmcnt en niusûeCampana? ?• — Oui, madame, et à lavenir, vous me ferez lamitié dadopter le péplum elle cothurne. (Caricature de Darjoj, Charivari, 1865.) Le Gérant : F. Juven. Pull. — Iiap. PiSL Dspon (O.) Lne page du Chariiari : la [juiie royale. MILIEU DE SIECLE MÉMOIIIES DUX CRITIQUE Se raconter cest aussi raconter son éjjoiji/e; se jtcindre cestsouvent peindre ses contemporains. Les auteurs de Mémoires nontjtoint de meilleur titre ou de plus valable excuse. Si lon faisait depropos délibéré ce quils font presque toujours à leur insu, cela,offrirait peut-être quelque intérêt. Convenons que moi voudradire nous, et le moi cessera bientôt dêtre haïssable : on ne verra])lus en lai qu, le doeuniuit sincère et le téni iijiaqe parlant. I, i:iji:(ATio.\ Di; Les écrivains au temps de Louis-Philippe ont beaucoup uK-dit(le la I)Ourijeoisie. Les révolutionnaires lont oxconunuiiiée, lesronianticpies lont balouét;. La plupart des lionunes de ma géné-ration, bouri^cois comme moi et lils de Ijouri^cois, pai-I» raientprobablement de nos pères avee plus dinduliienee. i\»ur moi, sije devais adresser un reproche à cette bourireoisie, ce serait ausujet de son indilT


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