. Tannhauser, opéra en trois actes, quatre tableaux. artis à Rome! un ange par sa grâce *Jr^Abattait la fierté du péché dans mon cœ voulais expier mes crimesPar mes remords et ma payer les larmes sublimes |,^ :^/r Quelle versa pour le pécheur! t^ Du plus austère pèlerinTrop doux encor me semblait le chemin:Quand il marchait par les riantes plaines,Le roc aigu brisait mes pieds sanglants ;Quand il buvait Teau fraîche des du soleil bravé les feux il offrait à Dieu son cœur mon sang au ciel, nosant «Quand sur la route il trouvai


. Tannhauser, opéra en trois actes, quatre tableaux. artis à Rome! un ange par sa grâce *Jr^Abattait la fierté du péché dans mon cœ voulais expier mes crimesPar mes remords et ma payer les larmes sublimes |,^ :^/r Quelle versa pour le pécheur! t^ Du plus austère pèlerinTrop doux encor me semblait le chemin:Quand il marchait par les riantes plaines,Le roc aigu brisait mes pieds sanglants ;Quand il buvait Teau fraîche des du soleil bravé les feux il offrait à Dieu son cœur mon sang au ciel, nosant «Quand sur la route il trouvait un asile,Je me couchais au sein du froid yeux fermés à sa plaine fleurie,Je parcourus, aveugle, lItalie,Heureux doffrirMa souffrance en échange. Pour adoucirLes larmes de mon ange IJarrive à Rome enfin, cité cé seuil du temple agenouillé, je jour i:pissait et les cloches tinrient,Et de célestes sons dans lair vibraUnt;Un chant de joie annonçait espérance, 0^ %, i2 TANNHAUSER^. ^. ^-i^^d^^j^r*. 2f^ 4 / ^^^^.® ^^jB?!^?^^ ^ ^?^^ pe peuple vis* cekiT<fu^^(îeT)ïeu tient la place, ^Un peuple entier tombait à ses sa voix promettait la clémence, la grâcek tous, en leur disant : Allez! soyez absous!Je minclinai le front dans la poussière,Je maccusai, dans une peine amère,Des chauds désirs dont senflammait mon cœuiEt que toujours je sentais dans mes maffranchir de ces brûlantes chaînes,Je limplorai courbé sous la douleur! Et lui, que priait le pécheur,Me dit : « De Dieu, si tu t*es détourné, ^ )» i!^ Yéaus si tu,t;ês-do^î4,» Pour réternité sois damné 1^ Corime ce bâton dans marnain» Ne saurait refleurir soudain,» Des feux d*enfer, sois-en certain, oudroyé, je tombai! — Devant cette menace> Tout sentiment senfuit! 4/^^^ Quand je méveillai, sur la place /.J^Régnait la nuit. 1^ ^Et jentendais au loin des chants de grâce,-^«eEt ce chant joyeux mindignait!Le


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