. Un voyage à la mer polaire sur les navires de l'Alerte et la Découverte, (1875 à 1876) [microforme]. Alerte (Navire); Discovery (Navire); Alert (Ship); Discovery (Ship); Sciences naturelles; Natural history. UN VOYAGE A LA MER POLAIRE. 291 déjà Ips véhicules et loiil ce (|Uo peuvent faire quatre, un peu moins soiilTrants, c'est do claudi'jueraprèseux. L'ordre de niarclie osl réj,'lt''l'oninie suit: le grand traîneau, auiiuel s'allelle tout notre oIToclif, est convoyé d'abord aussi loin que possible ; puis nous relournons prendre les deux autres entre lesquels nous liartaget)ns
. Un voyage à la mer polaire sur les navires de l'Alerte et la Découverte, (1875 à 1876) [microforme]. Alerte (Navire); Discovery (Navire); Alert (Ship); Discovery (Ship); Sciences naturelles; Natural history. UN VOYAGE A LA MER POLAIRE. 291 déjà Ips véhicules et loiil ce (|Uo peuvent faire quatre, un peu moins soiilTrants, c'est do claudi'jueraprèseux. L'ordre de niarclie osl réj,'lt''l'oninie suit: le grand traîneau, auiiuel s'allelle tout notre oIToclif, est convoyé d'abord aussi loin que possible ; puis nous relournons prendre les deux autres entre lesquels nous liartaget)ns nos « forces ». Le brouillard a décidément remporté lavicloire : en dépit de tous nos ell'orts, nous avons perdu la piste nii pou avant goûter, et il faut reprendre les |)ics et les pelles. A moins cpic l'atmosphère ne se nettoie suflisamment pour que nous retrouvions la route, nous allons mettre le cap sur la terre ,|,ins la direction du « Val de neiges », Campé sur un petit floe ciîlièrcmcnt circonscrit par des hunmiocks (jue nous avons dii saper. Marche, deux kilomètres et demi. « Parr et moi partons en éclaireurs à 7 h. 45 du soir; trois ter- rassiers nous suivent pour tailler le sentier dont nos pas forment le tracé, les trois qui restent lèvent la tente et arriment les traî- ni'iuix. Plus de floe, si petit (ju'il soit; il faut avancer il la sueur lie notre front au milieu du dédale des hummocks. On retourne en arrière, on s'attelle aux traîneaux et ainsi de suite. Labeur Iles dur! Knfin, à cinq heures du matin, nous gagnons un su- perbe Hoc sur lecjuel nous cami)ons. Marche, deux kilomètres. > k. â \ peine en chemin, nous sommes de nouveau noyés ilans un épais brouillard (pie le soleil ne saurait percer. Il faut ^'ouvrir une issue au travers d'une large bande de hunmiocks, [mis serpenter parmi des billons de névé et de jeune glace, sur la neige profonde et pâteuse; n
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