Le Monde moderne . ez ^rand. vous enlère/ autant. Aolrepère a voulu direque ee nétait pasbon pour les petitej:areons. — Ah : lit WeeWillie Winliie, dé-sormais amplementéclairé, cest commela brosse qui mousse — Précisément,répondit Coppy avec;,Mavilé. — Cependant zene pense pas que) aurai jamais enviedembrasser lesfaraudes tilles, nipersonne. exceptéma mère; et elle,vous le savez, (/ lef:iul. 11 V eut un lon^silence rompu parWeeWillieWinkie. — .\i niez-von sbeaucouji celtej;rande tille. Copin. — Terriblement ! — Plus que Bell,(Ui le Hutcha, moi ? — ,1e I aime au-trement, dit Coppy. \ou


Le Monde moderne . ez ^rand. vous enlère/ autant. Aolrepère a voulu direque ee nétait pasbon pour les petitej:areons. — Ah : lit WeeWillie Winliie, dé-sormais amplementéclairé, cest commela brosse qui mousse — Précisément,répondit Coppy avec;,Mavilé. — Cependant zene pense pas que) aurai jamais enviedembrasser lesfaraudes tilles, nipersonne. exceptéma mère; et elle,vous le savez, (/ lef:iul. 11 V eut un lon^silence rompu parWeeWillieWinkie. — .\i niez-von sbeaucouji celtej;rande tille. Copin. — Terriblement ! — Plus que Bell,(Ui le Hutcha, moi ? — ,1e I aime au-trement, dit Coppy. \ous comprenez,un de ces jours, miss Allardvce map-partiendra ; mais vous grandirez, et vouscommanderez le régiment, toutessortes de choses arriveront. \ous voyezcomme c est différent. — Très bien, dit Wee ^^illie ^\inkie,eu se levant. Puisque vous aimez tant lagrande demoiselle, ze ne dirai rien àpersonne. Maintenant il faut que ze menaille. Coppy se leva pour escortei- son petit. bote jusquà la purte et il ajouta : \ousêtes le meilleur des petits êtres, , je vais vous dire : dans trentejours, vous pourrez tout conter à quibon vous semblera. Le secret de u lengagement •> Brandis-.\llardyce dépendait donc de la paroledun petit enfant. Coppy, qui connais-sait les idées de Wee Willie ^^inkiesur la loyauté, était tranquille, car ilsavait que ^^inkie tiendrait sa promesse. Wee ANillie Winkie laissa percer lin- WKE ; WINKIi; lértl iiuisilé el loiil particulier que luiinspirait miss Allardvce en évoluantlentenienl autour de celle jeune pei-sduiie, la re^^ai-ilaiit dun uil grave ellixe cpii ne laissait pas que de lembar-rasser f|uelque peu. 11 essayait de dc-cduvrir pourquoi Coppy lavait em-hrassée. lAh nélail |)as moitié aussichai-manle que sa j)ro[)re mère. Dautre|)arl, elle était la jn-opriélé de Coppy etlui appartiendrait dans le cours destemps. Il était, en conséquence, de sondevoir de la traiter avec


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