Blançay . maison voisine , ou« je fus soigné comme un Colonel; ec•a ce qui gny avait de pu gracieux ,•3 cest que la maîtresse du logis étaicsa belle à croquer, mais jdis plus belle» que si elle navait été que belle ,R 1 C r96 ysi parce quelle avait lair dêtre bloquée:ide dpuis long tems par le ) Le lendemain elle me fît déjeûner,« voulat me donner de largent ; mais^îs votre serviteur, que je dis, un guer-;» nadier, ntend pas la main commç» Me via donc parti j mais javais dansao la tête que je connaissais ma belle*> hôtesse. En effet , à force de rne=3 rappeller ce trait ci, ce


Blançay . maison voisine , ou« je fus soigné comme un Colonel; ec•a ce qui gny avait de pu gracieux ,•3 cest que la maîtresse du logis étaicsa belle à croquer, mais jdis plus belle» que si elle navait été que belle ,R 1 C r96 ysi parce quelle avait lair dêtre bloquée:ide dpuis long tems par le ) Le lendemain elle me fît déjeûner,« voulat me donner de largent ; mais^îs votre serviteur, que je dis, un guer-;» nadier, ntend pas la main commç» Me via donc parti j mais javais dansao la tête que je connaissais ma belle*> hôtesse. En effet , à force de rne=3 rappeller ce trait ci, ce rrai-là, jaisa reconnu par mémoire Mlle. Julie 33.—cc Ah ! mon cher Sans-Regret l»> mon cher ami 1 allons vite rendre,33 la vie à toute une famille >3. £t, memettant à courir, je suis en un clin-doeil auprès de M. dArleville. —•« Dieu soit loue » I s\cria-t-il avectransport. « Le bonheur de mon fils ne» dépend plus que de moi. Cependant Tom II I\ii7 J>JV. (157) „ ménageons sa faiblesse , celle 3e sao5 mère j ne leur apprenons quavec „ précautions Mais estil „ bien sûr ? — ^ je men «•vante », dit Sans-Regret, ^ suivi courant à sa manière.« Je ne lai vue en tout que deux fois i» je ne lai reconnue que de mémo:re$„ mais cest égal. Je parierais mes * moustaches que cest elle-même.„ — Il serait si dangereux » , dit , de donner une faussed3 joie à ma femme 1 à mon fils 1*> Voudnez-vous me conduire chez * Julie 2 — Ou;-dà 1 — Eh bien 133 partons sur le champ ». On fit attelcl une voiture. M. dAr-leviile prit un prétexte. Il partit avecSans-Regrer. Le troisième jour , ilR 3 ( I5>8 )fut de retour avec Julie. Pendant sonabsence, Adèle et moi, nous avionsdabord jette quelques lueurs despé-rance dans le cœur du jeune dArle-vilie et de sa mère. Nous les avionsfortifiés graduellement , enfin nousavions annoncé que la retraite ceJulie était découverte, ensuite quellev


Size: 1255px × 1992px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookauthorgorjyjeanclaude17531795, bookcentury1700, bookdecade17