Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie . ux fois parjour pendant trois ou quatre jours. Cet accident choréique avaitduré quinze jours. Les mouvements consistaient en une sorte de salutation dontvoici la description daprès le docteur Bourneville ^ : La tête et le tronc se portent en arrière et vont toucher le lit etloreiller; en même temps : 1° le bras se colle au tronc ; lavant-bras, qui était allongé, se fléchit; la main, qui était en supination,se met en pronation, se fléchit, et vient toucher Tépaule ; — 2° lemembre inférieur qui était allongé, se fléchit, la cuisse su
Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie . ux fois parjour pendant trois ou quatre jours. Cet accident choréique avaitduré quinze jours. Les mouvements consistaient en une sorte de salutation dontvoici la description daprès le docteur Bourneville ^ : La tête et le tronc se portent en arrière et vont toucher le lit etloreiller; en même temps : 1° le bras se colle au tronc ; lavant-bras, qui était allongé, se fléchit; la main, qui était en supination,se met en pronation, se fléchit, et vient toucher Tépaule ; — 2° lemembre inférieur qui était allongé, se fléchit, la cuisse sur lebassin, et la plante du pied tout entière frotte sur le lit. (Fig. 100), Ceci constitue, pour ainsi dire, un premier temps, Alors, on i. Iconographie phot. de laSalp., t. Il, p. 155. 572 SYMPTÔMES PERMANENTS DE LA GRANDE HYSTÉRIE. note des grimaces limitées à la moitié droite de la face; les pau-pières droites se ferment, les muscles du cou, à droite, se convul-sent; se plaint de tiraillements dans la tempe droite et dans. -^vA Fiff. 100. la moitié correspondante du cou. Après un court arrêt survient unsecond temps. La tête se fléchit, le menton venant sappliquer sur la région
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