Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . œur de la Vestale (Spontini), la marche funèbredEgmont (Beethoven), la marche du sacre du Prophète(Meyerbeer), la marche du tsar de lEtoile du NordibAùyev-beer), la marche des fiançailles de Lohengrin (Wagner)la marche deTannhafiser, dumême, etc. — Marchedharmonie. Onappelle marched harmofiie unesuccession régu-lière daccordsqui, naturellement, reproduit exactement le même dessinuans la marche des parties enire elles. Ce procédé ne sau-rait se prolonger sans engendrer la monotonie par sa régu-larité ; mais il est souvent emplo
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . œur de la Vestale (Spontini), la marche funèbredEgmont (Beethoven), la marche du sacre du Prophète(Meyerbeer), la marche du tsar de lEtoile du NordibAùyev-beer), la marche des fiançailles de Lohengrin (Wagner)la marche deTannhafiser, dumême, etc. — Marchedharmonie. Onappelle marched harmofiie unesuccession régu-lière daccordsqui, naturellement, reproduit exactement le même dessinuans la marche des parties enire elles. Ce procédé ne sau-rait se prolonger sans engendrer la monotonie par sa régu-larité ; mais il est souvent employé dans le style rigoureux. MARCHE (du german. marka; cf. allem. mod. mark)n. Frontière militaire dun Etat. — Dr. coût. Marches communes. Paroisses situées surles confins de deux provinces. — Encycl. Hist. Linstitution des marches ou districtsmilitaires, destinés à protéeer les provinces frontières,est bien antérieure à Charlemagne, à qui on lattribuegénéralement. Le système des colonies militaires fut Exemple de marche dh. La marche de lbomme, daprès une épreuve chrooo photo graphique. on admet, pour les troupes, l^jio trfs à - llom, M fie les ..r>m à : i]Utique,. Vlnjperma-; forme de cure de terrai, pratiqué par les Romains, dès le ii siècle do lèrechrétienne, sur les bords du Danube, pour arrêter lesGermains. Mais Charlemagne développa plus complè-tement cotte organisation des marches. Les marchesse succédaient presque sans interruption lo long deszones tributaires; elles étaient occupées par des sorteséo garnisons vivant dans de véritables camps retran-chés, et dont la mission était de surveiller les peuples vas-saux ou étrangers, surtout de repousser les invasions. A latête de ces districts étaient les comtes ou préfets de lafrontière : on les appelait marchiones, plus tard mar-graves ou marquis. Les marches constituées à lépoquode Charlemagne étaient : la marche saxon7ie ou danoise,surveill
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