Alfred de Vigny et son temps (1797-1863): ses origines maternelles, ses amours, ses amitiés littéraires, ses idées politiques, sa religion, Le Maine-Giraud, documents nouveaux et inédits, dessins, portraits et autographes . Elisabeth-Sophie de Baraudin, chanoinesse du chapitre noble deSaint-Antoine de Malte, sa sœur; M. Jacques-Louis de Baraudin,doyen de léglise collégiale du château de Loches; M™^ Louise-Phi-lippe Bourdon, épouse de François-Gaston de Nogerée, chevalier,ancien lieutenant de vaisseau et lieutenant de nos seigneurs les maré-chaux de France, sa tante, et M™« Marguerite-Charlotte
Alfred de Vigny et son temps (1797-1863): ses origines maternelles, ses amours, ses amitiés littéraires, ses idées politiques, sa religion, Le Maine-Giraud, documents nouveaux et inédits, dessins, portraits et autographes . Elisabeth-Sophie de Baraudin, chanoinesse du chapitre noble deSaint-Antoine de Malte, sa sœur; M. Jacques-Louis de Baraudin,doyen de léglise collégiale du château de Loches; M™^ Louise-Phi-lippe Bourdon, épouse de François-Gaston de Nogerée, chevalier,ancien lieutenant de vaisseau et lieutenant de nos seigneurs les maré-chaux de France, sa tante, et M™« Marguerite-Charlotte de Barau-din, sa cousine, épouse de M. Jacques-François Mayaud de Boislam-bert, chevalier de lordre royal et militaire de Saint-Louis, lieutenantdu roy au gouvernement du château de Loches,. .M»= ALEXAXDRINE DU PLESSISdaprès une photographie communiquée par .M. P. de Lwalette. LE MARIAGE DE SON lÈRH 9 Le mariage fut célébré deux jours après dans léglise col-légiale du château de Loches, et la bénédiction nuptiale(liiunée par labbé de Baraudin. Après quoi, AL et M* do Vi-ciiy sïnstallèrent rue de Gesgon, sise au bas de la ville,liiins une maison, modeste comme leur fortune, et qui estiiabit/^e aujourdhui par M. Enault, notaire (1). Cest là (luAlfred de Vigny vint au monde, le27 mars 1797. Mais sa naissance avait été précédée dévénements domes-tiques que je ne puis passer sous silence. III Dès Tannée 1793, trois ans à peine après leur mariage,M. et M^ Léon de Vigny avaient été en butt^, aux tracas-series du district révolutionnaire de Loches. M^ de Vi-gny, qui avait eu deux enfants coup sur coup et étaità peine relevée de ses dernières couches, avait dû se pré-senter le 4 juillet de cette année devant le conseil généralde la commun
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