La Lecture . s lun queI autre. Et ne croyez pointque c soient là inven-tions de chroniqueursa lesprit ini2«nicux,( ir le fait est rapportéparla haronno dOJx-r-kircl) flans ses .\/<-moircs, alors qiirllcvoyageait avec labilleet irracieuse Dorothéede Mdntlxliard, épousedu czarewitch. (estainsi, du moins, quelh-dut ac<()mplir, dans savoiture, le Irajet deParis à Versailles. Etce nétait pas soule-menl limpériale desvoilures qui irènaif , loul devenait ohslaclc : uw enscitrne, une lanterne, les arcadesbasses si répandues dans certaines villes, un l)«is(piil, im ber-< <lans les sal


La Lecture . s lun queI autre. Et ne croyez pointque c soient là inven-tions de chroniqueursa lesprit ini2«nicux,( ir le fait est rapportéparla haronno dOJx-r-kircl) flans ses .\/<-moircs, alors qiirllcvoyageait avec labilleet irracieuse Dorothéede Mdntlxliard, épousedu czarewitch. (estainsi, du moins, quelh-dut ac<()mplir, dans savoiture, le Irajet deParis à Versailles. Etce nétait pas soule-menl limpériale desvoilures qui irènaif , loul devenait ohslaclc : uw enscitrne, une lanterne, les arcadesbasses si répandues dans certaines villes, un l)«is(piil, im ber-< <lans les salles de bals, lustres et irirandoles. M d»*(lenlis, allant voir Xoltaire à lerney. la t<t« enipanaeliée, ae- I cntciie les plumes de sa niontr-nu-nrl à un bercau aulériein* I aux coilTures extravairautes. Tant et si liien qu(>, — |)uis(pi< loin t\r \iiuloir e«d»r, les ooif-fiucs sexliaussaient toujours dun nouvel étai:». — il fallut sin-L. I. — 21 IV — :i;*. Cliapcaii li>>Mii(>(. Spiiii-iT \|.i, iiiIh- rosi-,liainlif (lu Jiiiirfia nanici lI rirs Moif. {Si-plombrelTJT.) 610 LA LECTURE ILLUSTREE génier à trouver des combinaisons pour rendre la circulationpossible. Le sauveur fut un nommé Baulard qui inventa la per-ruque mécanique se baissant ou se relevant à volonté suivantquon voulait faire sa belle madame, triompher en toute souampleur carcassière, ou bien soit passer par quelque porte basse,soit se loger dans une voiture. A vrai dire, donc, les caricatures qui pleuvaient sur ces ridicules, drues et serrées, nétaient caricatures que par lexagéra-tion donnée aux exagérations natui^elles; mais tout ce quellesreprésentaient ne sortait point de lexacte réalité. Enfin, voici venir la grave question, digne pendant de la ques-tion dOrient : le théâtre. Haute coiffure ou grand chapeau, quece soit par rélévation ou par lampleur, tout ornement de la têtedépassant certaines proportions se trouve être un obstac


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