. Le manoir des Boishaël . vures daprès Zier. BIBLIOTHEQUE DES FETITS ENFANTS Contes à Pépée. 1 vol. avec .4 gravures daprès Griva/.Plaisirs et aventures. 1 vol. avec 38 gravures daprès perruque du grand-père. 1 vol. avec 30 gravures daprès ï enfants de Boisfleuri. 1 vol. avec 30 gravures dapi es vacances à Trcuville. 1 vol. avec 40 gravures daprès château du Roc Salé. 1 vol. avec 30 gravures daprès enfants du capitaine. 1 vol. illustré de 20 gravures daprès dun bateau. 1 vol. iiluslié de 40 gravures daprès Zier. CIkkjuc v
. Le manoir des Boishaël . vures daprès Zier. BIBLIOTHEQUE DES FETITS ENFANTS Contes à Pépée. 1 vol. avec .4 gravures daprès Griva/.Plaisirs et aventures. 1 vol. avec 38 gravures daprès perruque du grand-père. 1 vol. avec 30 gravures daprès ï enfants de Boisfleuri. 1 vol. avec 30 gravures dapi es vacances à Trcuville. 1 vol. avec 40 gravures daprès château du Roc Salé. 1 vol. avec 30 gravures daprès enfants du capitaine. 1 vol. illustré de 20 gravures daprès dun bateau. 1 vol. iiluslié de 40 gravures daprès Zier. CIkkjuc volume in-V). broché 2 fr. 25 — cartonné, tranches dorées. 3 fr. 50 3379 j. — Imprimerie Lahuue, rue de Fleurus, 9, à Paris. LE MANOIR DES BOISHAEL Mme CHERON DE LA BRUYÈRE OUVRAGE ILLUSTRÉ DE 38 VIGNETTESPAR EDOUARD ZIER PARIS LIBRAIRIE HACHETTE ET G1 79, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, 791897 Droils de Iraùuctioa cl clo rc pioilu -tioii réservé». A MON PETIT AMI EDOUARD DE CLAYBROOKE Cil. DE LA Deux fenêtres en vis-à-vis Dans une des plus étroites rues de Saint-Malo,ce qui nest pas peu dire, se trouvaient deuxfenêtres placées en vis-à-vis. En se penchantlégèrement, deux personnes ayant le braslong pouvaient se serrer la main dune mai-son à lautre; mais celles quon y voyait sou-vent nauraient pu tenter pareille étaient des fillettes de douze et treize les jolis minois apparaissaient entre les lise-rons, les capucines, les pois de senteur, grini- 1 2 LE MANOIR DES BOISHAËL. pant sur des fils de fer de chaque côté des fenê-tres. Laînée des deux, Bertrane de Boishaël, étaitune blonde dune pâleur maladive. Lexpression deses grands yeux était rêveuse, presque triste. Elleouvrit sa fenêtre par une belle matinée de prin-temps; il pouvait être dix heures. Le soleil bril-lait partout; et cependant la rue était sombre, caril sarrêtait généralement au-dessus des toits enfaisant scintiller les ailes dune vieille
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