. Annales des sciences naturelles. Plants; Biology. 3i8 FERNAND PELOURDE lui-mcme (I), est iraulanL plus aitilicielle que, erapiès les observations les plus récentes, il se pourrait bien ([ue, dans certaines conditions d'âge et de milieu tout au moins, les i-acines de tous les 'ius eussent été lacuneuses (2). En outre de leurs lacunes, les racines du Ps. brm'ilïen-s'is possédaient un grand nombre de cellules gommeuses réparties dans toute l'épaisseur de leur écorce interne (fig. \ et 5). Ces éléments, dont le contour est circulaire ou polygonal, apparaissent tantôt isolés, tantôt groupé
. Annales des sciences naturelles. Plants; Biology. 3i8 FERNAND PELOURDE lui-mcme (I), est iraulanL plus aitilicielle que, erapiès les observations les plus récentes, il se pourrait bien ([ue, dans certaines conditions d'âge et de milieu tout au moins, les i-acines de tous les 'ius eussent été lacuneuses (2). En outre de leurs lacunes, les racines du Ps. brm'ilïen-s'is possédaient un grand nombre de cellules gommeuses réparties dans toute l'épaisseur de leur écorce interne (fig. \ et 5). Ces éléments, dont le contour est circulaire ou polygonal, apparaissent tantôt isolés, tantôt groupés par 2 ou par 3 (cf. lig. \J)). Leur taille, très variable, dépasse en général de l)eaucoup celle des aulres cellules de la même région, et aussi celle de leurs analogues chez divers îiutres Psaronius (Ps. f/if/^fn- teits, ) (3), de telle sorte qu'on les aperçoit aisément à l'œil nu (i), sous l'aspect de taches brunes ou jaunâtres. Cylindre reniral. La section du cxlindre central, dans les racines du Ps. brasUiensis , prt'- - sente dans la i)hi- part des cas un contour nettement polygonal (fig. Gi ; ses sommets cor- respondent à ceiiv des faisceaux li-. ~, Fig. (). — l's. brasiliensis (écliantillon de Guilleniin gneux, et ses faces coupe transversale) : étoiles ligneuses des racines n°' 15 (à gauche) et 20 (à droite), dont les faisceaux constitu- tifs sont numérotés en cliill'res romains.— On remarque, aUX intervalles si- autour de colle de droite, le contour pentagonal «lu , , , i cylindre central. tucs entre ces der- niers. L'étoile vasculaire ne peut être observée qu'avec un éclaire- ment très faible, à cause des nombreuses concrétions qui mas- quent les parois de ses éléments. Le nombre de ses branches, c'est-à-dire des faisceaux (jui la constituent, varie en général de 3 à 0; dans ([uelques cas, j'en ai compté 7 (ex. fig. I, racine (1) Slenzel, Die [lue. cit.), p. I i I et suiv. (2) Cf. Zeil
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