. Sémiologie et diagnostic des maladies des animaux domestiques. s parotides, de lestomac, de lintestin(helminthiase). Un grand nombre de plantes telles que la ciguë,lœnanthe, le rhododendron, le sainfoin, contenant beau-coup de mouron blanc, les fourrages renfermant VAre-naria serpylifolia, le trèfle moisi recouvert de champi-gnons, jouissent également de propriétés divers agents hypersécréleurs agissent au moment deleur ingestion ou au moment de leur élimination. Agissent de même les essences tirées des végé injections sous-cutanées de pilocarpine provo(juentaussi une
. Sémiologie et diagnostic des maladies des animaux domestiques. s parotides, de lestomac, de lintestin(helminthiase). Un grand nombre de plantes telles que la ciguë,lœnanthe, le rhododendron, le sainfoin, contenant beau-coup de mouron blanc, les fourrages renfermant VAre-naria serpylifolia, le trèfle moisi recouvert de champi-gnons, jouissent également de propriétés divers agents hypersécréleurs agissent au moment deleur ingestion ou au moment de leur élimination. Agissent de même les essences tirées des végé injections sous-cutanées de pilocarpine provo(juentaussi une hypersécrétion des glandes de lappareil ptyalisme peut encore avoir son point de départ dansune irritation organique lointaine (cerveau, méninges,utérus, ovaires), et se manifester pendant les accès dépi-lepsie, de vertige, dans le cours de la rage, etc. Les paralysies et les spasmes du larynx, du pharynx, le PTYALISME. 51 tétanos, lengouement et le spasme de lœsophage, empê-chant la déglutition, rendent la bouche 2 =s ^ -o K a: -. s t. S. -5 •ç - jj CJ Cl c îlr ta Zi 5 C 0 à. »5S 9 1 ?5 2 1 5 c •X. »^ s H. ? ro 0 > 3 1 3 a - 1 0 1 0 c; > •p .5 r- ^ ?5 1 ^ ç 3 ?5 3 S ï2 é V _» M co S 0 E« 3 1 •O 1 £D 0 ^^ 3d 3 -a ^ ?j: U 2 0 «T — î - ~ *o ^ •^ ? ZJ .2 = - ^ Tc-= >^ - S_ o o - •£ = i I ? s I 3 !« = 2 1 I S - ^ oc . 2 te I -c = Le ptyalisme na pas une grande importance diagnos-tique, en raison même de la diversilé des maladies qui leprovoquent. 52 SEMIOLOGIE DE L APPAREIL DIGESTIF. IV. — PHARYNX. Lexploration du pharynx est généralement externe ; ellepeut cependant être interne (fig. 10 et 11). I. Exploration exterue. — 1° Inspection. — Lins-pection extérieure peut se faire par la vue, le toucher etlauscullation. Elle est indiquée toutes les fois que latète est tendue, laide, que lencolure est immobile, ouque la déglutition ou la régurgitation setrectuent diffi-cilement. Elle p
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