Londres . amp;c de To-béiffance des pères. Que na pasen effet à redouter le chef dune ^——i III Ml {a j Lunion conjugale tient lieu en An-gleterre du lien que trouveroit la nationdans Tunité de religion. O/iJè marie : donc iîya un Dieu. Bayle pofe cette Thèfe dans laXVI de fes nouvelles Lettres contre Main-bourg ; il la développe, fétablit & la de-montre d*ure manière diamant plus fatîsfai-fance, quelle eft autant fondée en femiaiensquen raifon. Longues. 347 nombrcufe famille, de ces mouve-mens inteftins qui pourroicnt rame-ner toutes les horreurs des guerresciviles {a) : horreurs dont cetteter
Londres . amp;c de To-béiffance des pères. Que na pasen effet à redouter le chef dune ^——i III Ml {a j Lunion conjugale tient lieu en An-gleterre du lien que trouveroit la nationdans Tunité de religion. O/iJè marie : donc iîya un Dieu. Bayle pofe cette Thèfe dans laXVI de fes nouvelles Lettres contre Main-bourg ; il la développe, fétablit & la de-montre d*ure manière diamant plus fatîsfai-fance, quelle eft autant fondée en femiaiensquen raifon. Longues. 347 nombrcufe famille, de ces mouve-mens inteftins qui pourroicnt rame-ner toutes les horreurs des guerresciviles {a) : horreurs dont cetteterreur doit éloigner le retour, de-puis que, dans des ouvrages très-répandus , un hiftorien , animé deFamour de la patrie & de la vérité ,en a mis tous les détails fous lesyeux du peuple même ( ^ ) .^ (a) Animî metuunt paterni Injurîofo ne pede proruat {fortuna ) Stantem columnam , vel populus frequensAd arma ceflances, ad armaProvocec, imperiumque fr,angat. ) M. Hume,. V6 348 Z o N D M :e s< puritains: JLe dcfpotifme de la coui de RomeparoilToit lobjet capital de la fol-îicitLide, & du zèle de cette voyoient ce defpotifme perpé-tué dans refpifcopat quavoit con-fervé Henri VIII. Ils montroient auibuverain dans chaque évêque, cetinfo lent archevêque dYorcÉ, qui,voyant à fes pieds le fameux Guil-laume le Conquérant , difoit a^ceux qui sempreffoicnt de le relever:Sinïte ïllum jacere ad pedes Pttri ( ^ ) rils sépuifoient en déclamationspour démontrer que Rome 6c lé-pifcopat étoient ennemis nés de laroyauté & de toute autorité tem-porelle y Se qu on ne trouvoit quedans leur fede des fujets foumis ôcun peuple fidèle. Bientôt leurs principes changèrentavec les circonftances : a la premièreapparence de perfécution ;, ils prou- ( a ) GuilL JNtwhu 1, 1, c. i< Londres» 349 Vèrcnt, par Li pure parole de Dieu ,que la révolte devcnoit nu remèdenéceflaire pour des fujcts violentésdans leurs confciences ;, de i
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